Malins plaisirs
Datte: 07/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Gabi34, Source: Hds
... la fac.
« Qu’est-ce que tu fous ? interviens-je-Tais toi » répond-t-elle, en accompagnant ses paroles d’un baiser sur mes lèvres comme pour m’empêcher de réagir.
Je la trouve si belle, si désirable, que je n’ai pas eu le cœur à résister. La fougue de ce baiser, auquel j’avais cessé de fantasmer, me fait perdre la tête et me retira tout le sang de mon cerveau. L’érection de mon sexe me fait terriblement mal. Nos mains respectives s’égarent sur nos corps. J’effleure ses seins, dont les tétons pointent d’excitation avant d’aller glisser l’une de mes mains sous son jean, sur ses fesses. J’y découvre avec plaisir un string, ce qui me laisse la chair de ses fesses libre d’accès. De son côté, ses mains déboutonnent ma chemise et me griffent le torse. Je la sens bouillir. Quand je passe ma main droite à l’avant de son pantalon, j’ai à peine le temps de sentir le tissu de sa lingerie trempé qu’elle se glisse à genoux.
Tout en défaisant la ceinture de mon jean, elle me caresse le ventre. Le tout dans un silence que l’on respecte, uniquement rompu par les oiseaux chantonnant dans l’arbre à côté de nous. Une fois mon sexe libéré de sa contrainte, elle le masturbe très doucement, en le fixant avec un air de défi. Me sentant respirer de plus en plus fort, elle accélère un peu le rythme de sa main avant de mettre mon gland en bouche avec douceur. Ses lèvres et sa langue sont une douce caresse… Je la sens s’appliquer à me procurer du plaisir. Je la regarde et j’ai une vision ...
... d’elle, ma bite à moitié dans sa bouche, avec sa main saisissant la base. Elle est terriblement concentrée. Et je le ressens par une vague de plaisir qui me submerge.
Mais je l’arrête. J’ai la sensation qu’elle ne s’est jamais laissé aller, que jamais un homme, tout égoïste que nous pouvons être, ne s’est attelé à lui procurer du plaisir. Elle ne comprend pas pourquoi je lui retire sa sucette. Délicatement, je l’embrasse. Et je l’amène à s’adosser au mur. Quand je la sens se décontracter, ma main droite s’en va en quête de son bouton de plaisir, qui m’a été refusé quelques minutes plus tôt. Gêné par son jean, je le déboutonne, tout en l’embrassant. Puis je lui retire humblement. Il fait bon dehors, en ce mois de Mai. Je la vois en string, debout.
« Laisse-toi faire, je ne te ferais rien de mal ». Et j’approche mes doigts du tissu violet de son string. Je sens la chaleur de son entrejambe. Je le caresse doucement. Elle ne comprend pas, mais se laisse faire. J’en profite pour poser mes lèvres sur son cou. Son parfum est sucré. Il m’enivre. Je l’entends soupirer de plaisir. Ma main passe par-dessous son string et mon majeur se glisse dans sa fente pendant que mon pouce presse son clitoris. Elle gémit, je prends sa réaction comme un assentiment. Je continue. Mon majeur est rejoint par mon index et, à deux, ils font des va-et-vient dans sa chatte qui ne cesse de détremper. Mon pouce se fait de plus en plus insistant. Elle gémit plus fort. J’accélère en enfonçant mes doigts plus ...