1. Dérapages croisés


    Datte: 07/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    ... seras habillée. »Habillée, déshabillée plutôt se disait-elle en s’admirant néanmoins dans la glace. 28 ans, pas un poil de graisse, des seins à se damner, des jambes, juste le visage qu’elle trouvait joli mais pas canonissime mais n’en provoquait pas moins l’amour fou chez plus d’un homme. Angela lui laça fortement le corset qui faisait encore plus ressortir sa poitrine et l’accompagna au salon. Christian et Bernhardt devisaient gaiement, un grand verre à Cognac en main, un feu brulait dans la cheminée, il ne manquait qu’un chien pour faire tout à fait image d’Epinal. Ils sifflèrent d’admiration en voyant les deux femmes : « Vous êtes superbe ! » Angela n’avait toujours pas dit un mot et n’avait fait que mettre son doigt devant la bouche à chaque tentative de dialogue de Chrystèle. Elle s’asseya instantanément aux pieds de Bernhardt qui lui caressa doucement la tête avant d’accrocher une laisse au collier de cuir noir qu’elle portait. Il dit alors durement à Chrystèle : « Aux pieds de Christian, qu’il vous mette aussi votre collier ». Fascinée, elle s’approcha du grand canapé de cuir rouge où Christian était assis. Il lui mit alors un collier en métal qu’il ferma avec une petite vis. Puis le relia à une laisse en cuir et lui dit de se mettre à genoux à côté de lui.
    
    La conversation continua entre les deux hommes. Ils buvaient tranquillement sans sembler faire attention à elles. Le temps commençait à sembler long à Chrystèle, qui se demandait où était passé les deux autres ...
    ... hommes. Angela ne bougeait pas. Enfin Bernhardt leur dit de se mettre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre, sur l’épais tapis, face à la cheminée. « Regardez Christian comme elle mouille ». Bernhardt avait introduit son index dans le sexe d’Angela. Jusqu’à côté de Chrystèle elle semblait déjà jouir. Christian en fit autant avec elle et elle en fut également ravie. « Elle mouille moins, regretta Christian.
    
    - C’est parce qu’elle n’est pas encore dressée », répondit Bernhardt. « Nous allons nous en occuper ? Vous êtes d’accord Chrystèle ? »Pratiquement nue, à quatre pattes devant ces deux hommes, elle ne savait que répondre.
    
    « Je vous préviens Chrystèle qu’une acceptation vaut pour toute cette nuit. Nous ferons de vous ce que nous voulons. Vos orifices seront livrés à qui nous le voudront et vos tentatives de rébellion sévèrement châtiées. Alors Chrystèle ? » Bernhardt la subjuguait encore plus que Vincent. Elle sentait son sexe couler littéralement d’excitation. Elle s’entendit dire, en anglais, ce qui rajoutait à son excitation mais aussi à son détachement de la situation, comme dans un rêve, subjuguée par une autorité bien plus forte que celle de son amant : « Je ferai ce que vous voudrez.
    
    - A qui parlez-vous ?, demanda Bernhardt.
    
    - A vous.
    
    - On dit maître alors ? Répétez : « Je ferai ce que vous voudrez, master »- Je ferai ce que vous voudrez… master.
    
    - Bien. Mettez-vous toutes les deux à quatre pattes sur ce canapé que nous inspections vos orifices. ...