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Datte: 06/04/2025,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
cuisine,
salledebain,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... d’aller tout au fond, pour la prendre complètement. Mentalement, je compte :
Monique gémit, un long « oooh » de surprise, d’étonnement, de sensation forte.
Puis j’arrive au bout de ma course folle, mes chairs collées aux siennes, nos poils emmêlés, nos peaux moites l’une contre l’autre. Je la regarde intensément, elle soutient mon regard, sa bouche toujours arrondie par son long gémissement.
À présent, je la pistonne, d’abord doucement, lentement, puis de plus en plus vite. Ma maîtresse murmurait des longs « oui », auxquels je réponds par les mêmes mots, mais plus brefs. Ma tige d’airain va et vient, fond en elle, remonte, luisante, glissante, puis repart plus loin encore, comme s’il n’y a aucune limite, comme si je pouvais m’enfouir plus profondément, fortement, au-delà de toute vraisemblance.
Durant ce temps, ses doigts s’agitaient intensément sur son clitoris en feu. Je vais, je viens, je suis en elle, rien qu’en elle, dans cet endroit interdit, je suis heureux, béat, j’en veux toujours plus, encore plus ! Rivé en elle, piochant en elle, creusant en toi, forant en elle !
Pourtant, ce n’est pas la première fois que j’occupe la porte d’ébène, mais c’est bien la première fois que ça me fait un tel effet. L’initiation de Monique à cette pratique ? Même pas, car j’ai eu le plaisir d’être l’initiateur de quelques femmes. Mais aujourd’hui, c’est… comment dire… c’est différent…
Le temps paraît suspendu.
Monique crie, son bassin se soulève, se tend, se plante ...
... plus encore autour de mon pieu incendiaire. Je ressens comme une décharge, ma maîtresse se laisse complètement aller, s’abandonnant à la double exploration de ses doigts sur sa vulve mouillée et de ma tige coulissant sans relâche dans son petit trou tabou…
Elle crie à nouveau, ce long gémissement que je te connais, mais à présent plus bestial, plus primal. Je n’arrive plus à résister, je suis au bout de mes limites ! Alors j’explose en elle, tandis que ma partenaire jouit comme une petite folle !
Puis arrive le brouillard blanc et cotonneux…
Je reste planté en elle, pour bien savourer, puis lentement, je me retire. Sous mon retrait, Monique gémit doucement. Son orifice reste béant quelques instants avant de se contracter, laissant néanmoins échapper quelques traînées blanchâtres.
Un fort beau spectacle, quoiqu’on en dise…
Épuisé, je m’affale à côté d’elle, ma tête sur sa poitrine, un téton entre mes lèvres, tandis qu’elle me caresse les cheveux. Pas besoin de parler, juste sentir l’autre sous ma joue, sur sa peau, sa chaleur, sa douceur, sa moiteur…
Le temps file, indéterminé. Monique ressuscite petit à petit, elle ouvre les yeux, puis s’exclame :
— Waaah !
Levant la tête, je lui demande aussitôt :
— Ça va ?
— Oui, ça va… je ne pensais pas que…
— Que quoi ?
— Que ce serait si bon ! C’est dingue !
— Donc tu aimes…
— Oui, j’aime… mais pas tous les jours… c’est… c’est une découverte intéressante…
Puis elle affiche un sourire narquois, prélude ...