1. Autres contacts


    Datte: 06/04/2025, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, caresses, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, cuisine, salledebain, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... convoitise…
    
    Puis mon doigt s’enfonce, lentement, millimètre par millimètre, nos regards toujours rivés, soudés, elle me sourit. Moi, mon cœur bat la chamade tandis que je me glisse dans son intimité interdite. Je ne sais pas ce qu’elle peut lire sur mon visage, dans mes yeux, mais Monique me sourit toujours, un sourire ouvert et chaleureux.
    
    Plus d’une fois, mon doigt cueille une nouvelle noisette de beurre pour venir l’appliquer ensuite, afin d’aller toujours plus loin en elle. Je fais très attention de ne pas lui faire de mal, je veux qu’elle y prenne plaisir – de se sentir introduite ainsi – pour que ma maîtresse devienne ensuite une femme possédée entièrement, rien qu’à moi, rien que pour moi, possessivement…
    
    Mes mains sur ses seins, la courbe de son ventre, son mont prometteur plus bas, ses jambes qui frémissent malgré elles, ses cuisses toutes douces, mon doigt qui pivote en elle, dans cette entrée taboue, mais si excitante, si troublante…
    
    — Hmmm… hmmm…
    — Tout va bien ?
    — Oui… tout va bien… c’est… étrange… mais c’est bon… oui, c’est bon…
    
    Je laisse passer quelques instants, puis j’enduis mon gland puis mon prépuce de lubrifiant. Monique se pince légèrement les lèvres. Un peu inquiet, je l’interroge du regard, elle murmure :
    
    — Oui…
    
    Juste un simple mot de trois lettres.
    
    Alors, le plus délicatement possible, j’écarte posément ses fesses de mes doigts, puis de mon autre main, je présente mon gland à l’orée de son petit trou déjà un peu évasé. ...
    ... Monique active sa masturbation, faisant rouler son petit bouton rose entre deux doigts détrempés.
    
    Je la vois clairement respirer un grand coup, prête au choc, à la découverte. Je me rapproche un peu plus, je me positionne au mieux entre ses jambes, puis je pousse.
    
    Je rencontre d’abord une petite résistance, je prends fermement ma tige en main pour mieux la guider vers sa cavité, Monique cligne des yeux, puis, d’un coup de bassin, mon gland entre en elle. Ma compagne de jeu ouvre la bouche, j’accentue ma pression, je m’enfonce jusqu’à faire disparaître en elle tout mon frein. Nous regardons, je lui demande :
    
    — Ça va ? Tout va bien, mon amour ?
    — Oui… ça va…
    
    Ah, elle n’a pas protesté que je l’appelle ainsi… Puisque ça va, je continue ma progression en elle, dans ce sombre tunnel, la moitié de ma tige s’engouffrant sans trop d’effort. Soudain, Monique souffle, je m’arrête, elle me lance :
    
    — Non, vas-y, ne t’inquiète pas…
    — T’es sûre ?
    — Oui, Pablo, c’est juste que c’est un peu… un peu curieux comme sensation…
    
    Tout doucement, étant à mi-chemin, je commence à coulisser en elle, la sensation est si forte que je dois faire des efforts pour me maîtriser, au risque d’ouvrir les écluses. La respiration de Monique se saccade, ses doigts s’activent de plus belle entre ses lèvres luisantes et odorantes, cherchant, fouillant, caressant, roulant ses chairs roses et humides.
    
    — Aaah… aaah…
    
    Je glisse en elle, dans son étroit conduit, entre ses parois serrées. Je décide ...