Amazonie 1 - Partie 3
Datte: 05/04/2025,
Catégories:
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religion,
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Transexuels
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Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... comme quand on s’amuse avec ses applis sur smartphone qui vous font un visage de fille quand vous êtes un homme.
Mélanie s’adressa en anglais au groupe, pour que tous comprennent, entre Brésiliens, Équatorienne et français.
—Meet… Alexandra (Je vous présente… Alexandra) !
—Virgem Santíssima (Très Sainte Vierge) ! s’exclama Manuel.
—Santa Madre de Dios (Sainte Mère de Dieu) ! s’exclama à son tour Juanita.
—Yes I am a lady now (Oui, je suis une femme maintenant), dis-je.
—This place (Cet endroit), dit Manuel,This is the place of the legend of the Amazones (C’est l’endroit de la légende des Amazones) !
Il est vrai que seules Mélanie et moi connaissions les détails du manuscrit, pas nos compagnons. Je leur dis être très heureuse de cette transformation et j’étais sincère. Je reçus un accueil chaleureux et tous me serrèrent dans leurs bras. Plus tard, alors que Mélanie et moi étions seules, elle m’embrassa amoureusement. Nous fîmes l’amour, entre femmes, comme la lesbienne que j’étais devenue. Je découvris le plaisir des jeux sur ma vulve sur mon clitoris. J’eus un orgasme très différent de ceux que j’avais connus en tant qu’homme.
C’est donc en tant que femme que je passais les quatre dernières semaines sur le site archéologique des pyramides. Nous dûmes hélas partir, en ayant fait fort de laisser les lieux les plus proches possible de ce qu’ils étaient avant notre arrivée. Tout se passa très bien, j’étais rayonnante et cela se répercutait sur le ...
... groupe.
Manuel, Isadora et Pedro nous dirent au revoir à la dépose des passagers de l’aéroport. Juanita rentrait, elle, vers Quito, et Marc, Mélanie et moi, vers Paris.
J’eus une mauvaise surprise au contrôle de police, qui me fit presque rater l’avion : le policier brésilien en charge du contrôle me fit sortir de la file après que je lui avais donné mon passeport. Je fus isolée dans une pièce et une policière arriva bientôt. Elle me parla dans un français tinté d’un fort accent brésilien.
— Madame ?
— Oui ?
— Votre passeport est établi au nom d’un homme, Alexandre Forestier. Vous êtes une femme ?
— Oui, enfin non, je suis bien un homme… transgenre.
— Ah oui, mettez vos doigts sur cette machine, votre passeport est biométrique et nous allons vérifier vos empreintes.
— D’accord.
— Mmmh, vos empreintes correspondent bien à celles du passeport. Il semble authentique quant à lui. Vous êtes donc bien Alexandre Forestier. Pouvez-vous m’expliquer ?
— Je vous l’ai dit, je suis transgenre. Je n’ai pas encore pu faire changer mon identité de genre… Vous connaissez la légendaire lourdeur administrative française.
— Ah oui, nous autres Brésiliens sommes bien plus avancés ! Ah, ces Français, toujours à croire qu’ils sont supérieurs au reste du monde.
— Je suis bien d’accord avec vous, Madame, dis-je, allant dans son sens.
J’avais le sentiment étrange de faire comme Jéromine, dans ses nombreuses improvisations. Elle me tendit mon passeport.
— Je ne vois pas de raisons de vous ...