1. COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (2/2)


    Datte: 03/04/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... réveillait.
    
    • Oui, allons voir, regarde là, ce sont les sites où nous nous sommes connectés depuis que je te donne des cours.
    
    Le tout dernier avant qu’il te quitte, non, inutile que nous allions sur ce site, tu serais déçu de voir ce que mon beau-papa regardait.
    
    • Je veux voir, ça me permettra de faire mon deuil, je l’ai toujours mis sur un piédestal alors que je comprends qu’il était comme la plupart des hommes.
    
    Jean démarre ce que Ronald regardait avant de me laisser seule.
    
    • C’est bien ce que je pensais lorsque tu as voulu me protéger, la salope, la grosse bite noire, la différence avec toi est vraiment minime.
    
    Tu es aussi bien monté que Mamadou, mon petit Jean !
    
    Ces mots seront ceux qui selleront définitivement mes rapports avec mon gendre.
    
    Jean recule son siège et je viens l’enfourcher sentant immédiatement sa verge tendre son pantalon.
    
    Je glisse une main il est de nouveau dur comme du granite.
    
    Nos bouches se trouvent, on sont les grandes résolutions prises mercredi dernier !
    
    La vue de ce couple copulant a échauffé nos sangs, je sens sa bite ayant autant envie de moi que la première fois, ou est-ce la vue de cette petite pute.
    
    Je parle de « pute », car au début du film ils ont échangé quelques euros.
    
    Mince, Ronald allait-il aux putes lorsqu’il me quittait sous couvert d’aller faire son Tiercé !
    
    Je me soulève, il détache son pantalon pendant que j’en fais de même avec me mien.
    
    Et dire qu’en l’enfilant je pensais me protéger de ...
    ... mes envies de sexes adultérins avec mon gendre.
    
    Il était gros dans ma bouche, il rentre plus facilement dans ma chatte, malgré les mois qu’elle est restée sage jusqu’à ces cours d’ordinateur.
    
    Qu’il fait bon s’empaler sur ce maudit pieu, mais la jouissance que je ressens lorsqu’il touche mon utérus, balaye tous mes scrupules de tromper ma fille.
    
    Nos langues sont si actives que je sens de la bave couler sur mon menton, la sensation est si forte que si Odile surgissait dans ma salle à manger, même elle serait dans l’impossibilité de nous faire arrêter notre coït.
    
    Avec Jean, elle fait l’amour, moi avec lui je participe simplement à une baisse animale.
    
    C’est pantelant accroché à son cou après bien du temps que nous jouissons lui éclatant en moi et moi atteignant le plaisir suprême qu’un amant peut m’apporter.
    
    Je jouis atteinte par l’orgasme me rendant compte que le fumier qui se servait de cet ordinateur était loin de m’apporter autant de plaisir.
    
    Ou se trouve ma fille au moment lu ces gerbes de plaisirs irradient nos deux corps.
    
    Jean est insatiable, je m’attends à ce qu’il débande et me rend ma liberté, mais il me prend sous mes fesses, me soulève comme une poupée de son et m’emmène sir mon canapé.
    
    Dans un premier temps, il se couche sur moi, mais je prends l’initiative, il me libère, nous finissons de nous dénuder, il se rassoit et de nouveau je m’empale.
    
    Combien de fois, ma maison résonne de mes grognements puis de mes cris de plaisir, je l’ignore, ...