COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (2/2)
Datte: 03/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Doctolib, gouv.com, tous maintenant passe par Internet, je suis complètement ignorante de l’utilisation de ces engins modernes.
Avant, c’était Ronald qui s’en servait.
J’ai un portable, je sais tout juste appeler ou répondre après bien des explications de ma fille Odile.
Il me fallait donc apprendre à me servir du portable posé sur une table dans notre chambre.
Jean mon gendre, professeur des écoles, libre les mercredis vient pour la deuxième fois me faire voir comment tout cela fonctionne.
La première fois, il avait tout remis en état et avait même mise en place le wi-fi.
J’ignore comment ça fonctionne, mais ça nous permet de rester dans la salle à manger.
C’est plus pratique que dans la chambre, ça nous aurait été bien utile du vivant de Ronald qui m’empêchait de dormir lorsqu’il le faisait fonctionner.
C’est dans cette deuxième leçon qu’un incitant est survenu.
Jean se servait du mulot, pardon de la souris et me montrait l’usage de la molette.
Les images montaient et descendaient, défilant à grande vitesse.
C’est l’une d’elles qui est la cause du geste qui pourrait être considéré comme déplacé surtout envers mon gendre.
Ma main s’est posée sur sa cuisse pour lui demander de revenir dessus.
Sa cuisse, soyons précis, presque sur sa verge.
Est-ce mon short, très court, ou mes seins qu’il pouvait apercevoir lorsqu’il tournait la tête pour me montrer un point utile de l’utilisation de cet engin de malheur.
• Attention belle-maman, ...
... vous me faites bander.
• Tu reprends ton vouvoiement, es-tu mal à l’aise ?
• Non, mais je suis le mari de votre fille !
• Vu ce que j’ai légèrement caressé, elle doit être une femme comblée, acceptes-tu de me la montrer ?
• C’est bien pour te faire plaisir.
Certains diraient que j’avais prémédité mon geste suivi de ma demande, mais je peux le jurer sur la tête de Ronald, tous c’est fait sans que j’aie la moindre envie de tromper ma fille.
Certains diront que Ronald, c’est facile de jurer sur sa tête réduite en cendres comme il est, mais pour moi cela a plus de valeur que de jurer sur la tête d’une personne toujours de ce monde.
En d’autres circonstances, j’aurais juré sur celle d’Odile, c’est la prunelle de mes yeux, mais les âmes chafouines pourraient penser que je le fais pour prendre sa place.
Jean défait sa ceinture, se soulève et me sort un sexe hors du commun, du moins de ceux que j’ai pu voir et comme j’ai été fidèle à Ronald.
Ils se comptent sur les doigts d’une main, dont deux doigts auraient été coupés.
Celle de mon mari, demi-taille en rapport de ce que je vois.
Un inconnu dans la rue en conduisant Odile à la maternel, ça remonte à loin et qui était un exhibitionniste arrêté par la police dans les jours qui ont suivi et maintenant celle de Jean.
Je fais un geste instinctif contre toutes les conventions, je prends le sexe bandé de Jean en main.
Comme le font toutes les femmes mariées, du moins je le pense, j’ai masturbé Ronald, ...