1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1672)


    Datte: 31/03/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... cuisinière attrapait Juliensoumis par son collier et le faisait avancer, jusqu’à le sortir de ce Cachot, suivi de très près par Antoine accolé, toujours profondément ancré et emboité à ce trou maintenant parfaitement dilaté, leur deux corps ne faisant plus qu’un. Leur démarche était simplement grotesque et ridicule.
    
    - Qu’attends-tu pour nous suivre, la chienne !, me lançait la cuisinière.
    
    J’étais derrière eux, à quatre pattes, je les voyais imbriqué l’un à l’autre, ou plutôt l’un dans l’autre. Antoine s’arrimant à Juliensoumis pour le tenir emmanché profondément. Le plus dur pour eux deux, fut la montée d’escaliers sans lâcher cet accouplement dépravé et imposé. Je voyais Antoine se cramponner aux épaules de Juliensoumis, qui lui, cambrait son cul au maximum. Parfois Antoine était contraint de donner de furieux coups de reins, pour maintenir sa nouille raidie ancrée au plus profond de cet antre écartelé. Et de temps à autre, cette vicieuse cuisinière accélérait le pas pour tester leur capacité à rester emboiter, parfois elle s’arrêtait pour passer une main entre les cuisses d’Antoine afin de vérifier si l’étreinte imposés était toujours d’actualité. Parfois encore, elle exigeait d’Antoine qu’il fasse encore des allers-retours dans ce cul soumis, qu’il fornique et baise plus violemment encore alors que moi, toujours à quatre pattes, étais contraint à regarder ce bel enchevêtrement de ces deux corps transis par la baise. Etais-je un peu jaloux ? Voir mon futur époux ...
    ... tringler un autre soumis et d’y prendre plaisir, là, devant moi, me contrariait, je devais bien me l’avouer, mais que faire, que dire… avais-je le choix ? Et puis je savais que le Maître m’avait souvent dit que la jalousie ne pouvait pas exister chez un esclave… Alors que nous arrivions devant la porte du bureau du Châtelain, après ce long chemin, parsemé d’embuches et d’obscénités, Madame Marie ordonnait, à grands coups de cravache sur les omoplates d’Antoine :
    
    - Change de chatte, bâtard !
    
    Je n’avais pas compris cet ordre… Antoine si ! Il se dégageait du cul de Juliensoumis pour venir, très rapidement, s’agenouiller derrière moi, entre mes jambes. Et là, d’un coup puissant, d’un seul, il me pénétrait, me plantait sa nouille bandée violemment, si violemment dans le cul que je m’écrasais au sol en hurlant… Le corps d’Antoine avait suivi le mien, couché sur moi, m’écrasant sur l’épaisse moquette du couloir, il me défonçait sans se préoccuper de mes longs gémissements. Antoine remuait, allait et venait, me labourait tel un chien enragé. Je souffrais… mais cette souffrance, cette douleur me faisait perdre la raison : La situation était-elle si terrible ?, devais-je me plaindre ? Combien étaient-ils à désirer subir ce que je subissais ? Combien priaient-ils chaque jour pour que quelqu’un les trouve et les réduise en esclavage ? Moi j’avais cette chance d’avoir tout cela, la souffrance, l’humiliation, la dépravation… toutes ces sensations qui colonisaient ma vie servile sans même ...