La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1672)
Datte: 31/03/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1670) -
Chapitre 49 : Toujours plus de sexe en mode dépravé ! -
- Je ne pense plus qu’à baiser, Alex, je n’arrête pas bander, toute la journée…
Le calme donnait une impression étrange à la suite de cette possession sauvage, seuls les quelques sanglots d’Antoine venaient rompre ce lourd silence. Il déculait en me soutenant et en me soulevant pour que sa nouille poisseuse, pas encore totalement flasque, se loge sous mes lobes fessiers. Son foutre s’échappait de mon anus béant… Je le regardais avec compassion, lui, me caressait tendrement et amoureusement le visage avant de rapprocher ses lèvres sur les miennes, me déposant de multiples petits baisers délicats, doux et caressants. Juliensoumis, assis en tailleur, près de nous, nous regardait avec douceur et gentillesse.
- Le calme avant une nouvelle tempête dévastatrice !, soupirait Antoine.
Je ne comprenais pas ses propos, je le voyais perdu, anxieux, tourmenté, presque angoissé. :
- Il m’est désormais impossible de contenir mes pulsions, et celles-ci reviennent régulièrement, plusieurs fois par heure… Mon ventre me chauffe, puis me brule, ma nouille se tend à l’extrême, s’enflamme, mes couilles s’alourdissent et là je suis incapable de me contrôler, je me sens dans un état en rut comme jamais j’ai pu l’être jadis. Alors, il me faut une bouche, un vagin, un cul… c’est une obsession, une hantise, un ...
... véritable cauchemar, je suis devenu une machine à forniquer… L’excitation s’impose à mon esprit sans relâche, j’ai besoin de sexe, le sexe accapare le champ de ma conscience, comme si mon cerveau était désormais logé au bout de ma nouille, expliquait Antoine en gémissant.
Alors que Juliensoumis et moi l’écoutions, à cet instant précis, la porte du Cachot s’ouvrait. La sadique et perverse Madame Marie entrait, avec son éternel sourire obscène aux lèvres et sa cravache en main :
- Alors les putes, on baise ?, nous lançait-elle.
Un coup sec tombait sur une de mes épaules, un autre plus cinglant encore, s’abattait sur l’une de mes fesses.
- Dégage salope !, me lançait elle
Très vite, je me désolidarisais des bras d’Antoine pour me placer contre et près de Juliensoumis. Tous deux, étions effrayés… La cravache de cette satanée cuisinière ne cessait de frapper Antoine, qui lui, de guerre lasse, ne cherchait même plus à esquiver les coups. Assis, jambes repliées, la tête entre ses genoux, ses doigts crochetés derrière la nuque, il encaissait en gémissant et pleurant !
- Sale bâtard, espèce de petite merde que tu es, on fait tout ici pour te conditionner en un mâle reproducteur, on te donne un traitement hormonal et aphrodisiaque pour stimuler ta nouille et tes couilles de chien soumis, on t’enferme avec deux putes pour que tu puisses les baiser tant et plus. Et toi… toi, tu fais quoi de tout ça ?… Tu devises en pleurnichant, sale bâtard !
Les coups pleuvaient encore, la ...