Radhia
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
fh,
hh,
fplusag,
inconnu,
gros(ses),
caférestau,
toilettes,
fdomine,
noculotte,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
occasion,
lieuxpubl,
Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe
... son gabarit, nous avions bien du mal à y rentrer tous les deux, mais une fois la porte refermée, ça nous laissa un peu plus de place. Elle saisit immédiatement ma bite, la sortit de mon pantalon et commença à la branler avec la dextérité d’une professionnelle.
— Beau morceau, ni trop grosse ni trop petite, la taille idéale pour ma chatte, ironisa-t-elle.
Elle s’assit ensuite sur les toilettes, me tira à elle pour me sucer et m’emboucha avec voracité. Sa bouche était humide et accueillante, sa langue particulièrement experte me fit encore plus durcir. J’étais dressé tel un mât. Elle me pompa goulûment, et à ce rythme-là j’allais venir très vite, mais elle s’en aperçut et modéra quelque peu ses ardeurs. Ensuite, nous échangeâmes nos positions, je me retrouvai assis sur la lunette, et elle debout face à moi, la jupe entièrement troussée, sa chatte glabre qui m’invitait à la lécher, ce que je fis sans plus attendre. Juteuse à souhait, ça coulait même un peu le long de ses cuisses, ma langue s’enfonça dans la moiteur de son intimité pour aspirer sa liqueur. Quelques coups de langue plus tard sur son bouton turgescent, et la voici qui se raidit en me tenant fermement la tête et qui laissa échapper un premier râle de jouissance, suivi bientôt d’autres râles toujours plus forts, son bas-ventre était secoué de spasmes, elle se mit à jouir à répétition. J’avais des « Bouffe-moi, bouffe-moi » plein la tête tellement elle m’en avait abreuvé dans ce réduit exsangue.
— Putain, ...
... mon salaud, tu bouffes bien la chatte, mon clito adore ta langue… Attends une seconde que je reprenne mes esprits.
Elle haleta encore un peu puis retira carrément son haut, dégrafa son soutien-gorge qui tomba négligemment sur le sol sale et humide. Au passage, elle récupéra un préservatif dans une poche de sa jupe, jupe qui à son tour rejoignit le sol.
— Je suppose que tu n’en avais pas, ironisa-t-elle en ouvrant le précieux objet, les hommes sont bien tous les mêmes !
La voici qui me l’enfilait avec dextérité puis, s’approchant de moi, la grosse femme nue saisit ma bite, l’orienta dans son con et s’embrocha dessus sans plus attendre. Elle allait et venait le long de mon pieu de chair avec un plaisir non dissimulé.
— Putain que c’est bon ! avoua-t-elle en gémissant. Encore mieux que ta langue.
J’essayais de lui lécher un peu les seins, mais elle n’en avait que faire, concentrée qu’elle était sur ses va-et-vient. Plus agile qu’il n’y paraissait, elle accéléra encore la cadence. Je n’en pouvais plus et j’arrivai bientôt au point de non-retour, je la prévins que j’allais cracher. Elle accéléra de plus belle pour m’achever et sentant mes spasmes venir en elle, elle explosa à son tour en criant sa jouissance avant de retomber lourdement sur moi pour m’écraser de tout son poids.
Nous étions tous les deux moites, trempés de sueur, mais restâmes ainsi collés l’un à l’autre encore un bon moment. D’autres personnes essayaient d’ouvrir, mais trouvaient porte close… ...