Forçats de l'amour - Histoires de Sexe

Forçats de l'amour

... hurlements se produisent toutefois bien avant le plein développement de l’érection, à la satisfaction du Capitaine qui voit les filles répondre avec enthousiasme à ses exigences. Suivant à la lettre les instructions d’Ariane, Caroline bouffe littéralement les mamelons virils et hypersensibles. Elle provoque ainsi une alternance de sensations douloureuses, suivies de sensations agréables lorsqu’elle relâche son emprise. De son côté, Béatrice s’ingénie à exciter André en jouant avec ses boules remplies de sperme. La coordination entre les nanas est terrifiante. Et les baisers profonds et gourmands d’Ariane ne suffisent pas à détendre le puni. Il souffre visiblement à la limite du supportable.

Quelques minutes après le début du traitement, le membre d’André prend déjà des proportions qui dépassent la capacité de la cage de chasteté. Les parois de l’instrument impriment des marques sur la tige et envoient de douloureuses sensations dans le corps du soumis. Les lancées, certes contrecarrées par les attouchements des filles sur ses zones érogènes, n’en restent pas moins très désagréables.

Peu à peu, les stimulations excitantes finissent par prendre le dessus sur la souffrance. En acceptant son sort, André arrive à libérer son corps et son esprit, et à ne plus résister contre l’envie d’éjaculer qui monte lentement, mais inexorablement en lui.

Parler de réelle jouissance et surtout de libération au moment de l’orgasme serait toutefois exagéré. Le gars s’abandonne en ...

... réalité au trop-plein de stimulation qui fait gonfler une étrange boule de volupté entre sa prostate et ses couilles.

Lorsque l’intensité des caresses des filles dépasse la contrainte génitale, l’éjaculation se produit enfin. Enfermé et compressé dans la cage de chasteté, André ne sent pas vraiment le sperme traverser ses canaux virils. Ce n’est que lorsque sa semence coule sur sa cuisse, et que les filles cessent leurs attouchements, qu’il réalise ce qui vient de se passer. Le soulagement est non seulement très imparfait, mais frustrant. Exactement le but recherché par le Capitaine.

Connaissant les effets pervers de cette torture érotique, Jacques consent à accorder une quinzaine de minutes de pause supplémentaire. Non par pitié, mais parce qu’il préfère que le sexe d’André ait dégonflé avant le départ, afin d’éviter toute lésion des parties sensibles du corps. Il veut aussi donner le temps de se calmer aux deux autres mecs, qui ont suivi en direct ce que les filles ont fait subir à leur compagnon d’infortune.

Après quelques encouragements et de doux baisers sur le corps meurtri d’André, les filles laissent les forçats de l’amour reprendre leur marche. La tête et le ventre encore pleins des images érotiques de l’épreuve précédente, les hommes se remettent en marche, lentement, lourdement. À nouveau, seul le bruit du glissement de la chaîne sur le chemin rythme la troisième étape. Elle se termine à l’arrivée au sommet de la montagne. La vue est incomparable, la nature est ...