Sur la mer - Histoires de Sexe

Sur la mer

... phosphorescents, je veux bien, très pratique pour aller pisser la nuit sans m’exploser les tibias dans le carré.

On rit. Les gémissements continuent. Audrey passe sa main sur mon sexe qui réagit aussitôt.

— On dirait que leurs cabrioles te redonnent des idées… me susurre-t-elle.
— C’est pas faux.
— La jolie pipe sur le pont à côté d’eux n’a pas suffi ? me demande-t-elle, mutine.
— Avec ta bouche fabuleuse ? Y’en a jamais assez.
— Ça ne serait pas plutôt d’imaginer les petits nichons fermes de ma copine qui te redonne envie ?
— C’est pas faux non plus, mais les tienspendent beaucoupmieux, et ça, c’est irrésistible à mes yeux.
— Tu veux qu’on aille jeter un œil ? me demande-t-elle alors.
— Rhooooo… vilaine voyeuse !
— J’assume ! dit-elle en se levant et en me tirant par la main.

En traversant le carré, elle ouvre la porte du petit couloir qui mène à l’autre cabine et la cale arrière. On s’y glisse comme deux ados qui feraient le mur. Le plaisir vocal d’Émilie s’entend de plus en plus, et la porte de la cabine est ouverte à moitié. On se rapproche et penchant nos têtes ensemble dans l’entrebâillement, Audrey love son dos contre moi qui l’enlace.

Émilie chevauche Yann dos à lui, en appui sur ses pieds, ses jambes ouvertes face à la porte, elle fait aller et venir son bassin sur la tige de son mari. La tête penchée en arrière dans son extase, la pleine vue de la toison de feu et des lèvres roses autour du membre ...

... raide sur lequel elle s’empale sauvagement crispe la main d’Audrey sur ma cuisse.

Yann l’accompagne, ses mains à sa taille, et ses hanches pilonnent intensément l’intimité de sa belle.

— C’est… très excitant murmure Audrey à mon oreille, penchant elle aussi sa tête vers moi.
— Et si on allait tester cette intéressante technique de jeunesmillenials ? suggéré-je alors.
— Excellente idée, me répond-elle tandis qu’à mon tour je l’entraîne vers notre cabine.
— Par contre, ajoute-t-elle alors qu’on atteint la chambre, ça serait du plagiat si on refaisaitexactement ce qu’on vient de voir.

Je m’allonge sur le lit en quittant mon boxer.

— C’est pas faux encore, dis-je l’air fictivement embêté.

Debout au pied du grand lit, Audrey soulève alors sa nuisette au-dessus de sa tête et la balance par terre. Elle grimpe doucement sur moi, s’approchant de sa proie.

— D’abord, je veux te voir, me dit-elle s’accroupissant sur mes cuisses, ses magnifiques jambes écartées face à moi.
— Et ensuite ? demandé-je alors qu’elle me prend en main.

Elle lèche langoureusement ses doigts et les glisse sous son intimité, juste derrière un peu plus loin.

Et quand elle m’enfonce doucement en elle, toute sa volupté sous mes yeux, on s’abandonne une nouvelle fois, et j’espère pour toujours, à notre bonheur sur la mer.

Définitive, cette fois. Non, non, n’insistez pas, on ne va pas utiliserad vitam les mêmes personnages quand même… ;-)