Papy et la sauterelle (6)
Datte: 25/03/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Janus04, Source: Hds
... et prit entre ses lèvres un des tétons offerts. Ils basculèrent sur le lit et Sylvie se mit en devoir de tirer le pantalon de pyjama sur les pieds de Paul.
« Oh mais dis donc, tu as une belle paire de couilles, mon coquin !. »
En un clin d’œil elle fut à genoux sur le lit, cuisses largement écartées au-dessus du visage de Paul. Il avait sous les yeux une motte parfaitement épilée, une chatte béante, les lèvres débordant en replis de chair rose de la vulve profonde, un clitoris plus pâle mais qui lui parut démesuré, pointant hors de son fourreau. Un bref instant il pensa au délicat petit abricot de Leila, mais Sylvie avait déjà plaqué son minou contre sa bouche :
« Bouffe-moi la chatte, Valois, mon cochon. »
Paul se mit en devoir de fouiller d’une langue gourmande cette vulve humide, cherchant à l’introduire au plus profond du vagin de la femme qui s’agitait au-dessus de lui. Plaquant les deux mains sur ses fesses, il les pétrit énergiquement tout en commençant à suçoter le long clito frémissant. Sylvie se trémoussait de plus belle :
« Ah oui, c’est ça, mon salaud, vas-y, continue… Ah, vieux cochon, oui, oui… »
N’y tenant plus après cette mise en train elle se laissa aller sur le côté, entrainant sur elle son partenaire.
« Viens vite me baiser, cochon ! »
D’abord un peu décontenancé par la vulgarité de ce langage cru auquel ne l’avait pas habitué sa femme non plus que la timide Leila, il tenta de se mettre au diapason :
« Attends un peu, ma ...
... salope, tu vas la sentir, ma bite ! »
Ce disant, il pénétra brutalement Sylvie et entreprit d’aller et venir en elle à grands coups de reins. Elle tressautait sous lui; criant presque à présent :
« Ah oui, oui, mon salaud, elle est bonne ta bite ! Vas-y, comme ça, vas-y… »
Paul était au comble de l’excitation. Il entrait et sortait avec aisance de cette chatte béante et dégoulinante. Sylvie l’encourageait, l’accompagnait en cambrant les reins. Puis elle le repoussa légèrement, replia les genoux sur sa poitrine, et toujours les cuisses largement ouvertes elle posa ses mains sur ses fesses pour les écarter :
« Allez, Valois, mets-moi la dans le cul, mon cochon. »
Paul qui quelques jours auparavant il n’avait jamais pratiqué la sodomie s’y voyait à nouveau invité. Dès que son gland se trouva au contact de l’anus de Sylvie celui-ci se dilata pour luiu offrir l’hospitalité, et Paul pensa qu’elle était coutumière de cette pratique. Sa queue s’introduisit sans peine dans le fondement de sa partenaire, plus serrée que dans le large vagin qu’elle venait de quitter, lui procurant ainsi un plaisir accru. La femme continua à l’encourager jusqu’à ce que l’orgasme la submerge et qu’elle s’affaisse, épuisée. Paul à son tour, après quelques derniers vigoureux coups de queue, éjacula dans un soupire.
Ils restèrent ainsi l’un sur l’autre quelques instants et puis Sylvie reprit ses esprits :
« He bien, Valois, vous cachez bien votre jeu ; vous êtes un sacré bon coup, petit ...