Premiers contacts - Histoires de Sexe

Premiers contacts

... jour au lendemain.

Elle se moque gentiment de moi :

— OK, je vois… En revanche, pour tes mots crus, j’attends toujours…

Je respire un grand coup :

— Comme tu veux… mais ne viens pas te plaindre ensuite…
— Je suis majeure et vaccinée !
— Tu auras été prévenue… La crudité n’est pas forcément dans les mots…
— Ah bon ?

Mon bras étant toujours autour de ses épaules, ma main libre vient carrément soupeser son sein gauche, avant de refermer mes doigts sur cette mignonne masse molle et appétissante :

— Comme tu le constates, je suis un peu directif, avec mes envies et mes désirs…
— Et… et si je ne voulais pas ?
— Qui ne dit mot consent, dit la maxime. Dans certains jeux épicés, le mot « non » n’est pas une réponse appropriée. C’est pour cette raison que les participants mettent en place un mot de sécurité qui signifie vraiment « non »…

Se laissant toujours peloter, Monique demande :

— Et c’est quoi, ce mot de sécurité ?
— Hmmm… pourquoi pas « crayon »…
— Crayon !?
— Oui, crayon est un mot banal, mais qui détonne dans certaines activités…

J’approche mon visage du sien, continuant à parler :

— Crayon sera le seul mot auquel j’obéirai.

Puis enfouissant mon nez dans son cou, je masse son sein lourd tandis que je commence à l’embrasser du creux de l’épaule à l’oreille. Elle n’oppose aucune résistance, se contentant d’être assez passive, mais pivotant néanmoins la tête pour faciliter l’accès de mes lèvres qui déposent plein de baisers brûlants ...

... sur sa peau.

Puis elle laisse échapper :

— Hmmm… oui…

Alors je redouble d’intensité. Ma main glisse sous son top, pour mieux saisir son sein. Monique ne proteste toujours pas, elle frémit. Je me demande depuis combien de temps Jacques ne s’est pas occupé d’elle. Moi, j’ai la chance que ma femme accepte de se laisser faire, juste pour me faire plaisir.

Décidé à aller un peu plus loin, je libère ses seins en remontant le soutien-gorge qui les emprisonnait. Dans la foulée, je relève le top que je coince avec la lingerie à fleurs afin de révéler à l’air libre sa poitrine un peu tombante, dotée de larges aréoles.

Toujours muette ou presque, Monique respire fortement, je me penche sur ses deux lolos afin de les caresser, de les peloter et de les bisouter en même temps. Ses tétons durcissent sous mes lèvres et mes doigts.

— Tu sais que tu as de très beaux lolos ?
— Hmmm… tu dis ça pour me faire plaisir… Ceux de ta femme sont plus beaux que les miens…

Je capture un sein à sa base pour mieux l’apporter à ma bouche :

— Les tiens sont flexibles et malléables, on peut faire bien des choses avec eux…
— Comme quoi ?

Pour toute réponse, j’engouffre dans ma bouche son téton et son aréole, faisant disparaître ainsi une partie de son sein que je dévore à ma façon. Intriguée par cette initiative, elle soupire :

— T’es un grand fou !

Comme ma bouche est très occupée, je ne peux répondre, mais mon autre main s’occupe de son autre mont avec délectation. J’adore ...