1. On the beach


    Datte: 11/03/2025, Catégories: fh, inconnu, plage, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral revebebe, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... eus peur qu’il ne s’aventure trop loin dans les vagues traîtresses de notre Océan.
    
    Trop de soleil et de fatigue le faisaient se montrer tel que tu l’avais élevé, exigeant, capricieux, naturellement tyrannique. Tout à son service, tu ne cessais d’inventer des stratagèmes pour le détourner de la comédie pleurnicharde que tu le savais en train de te jouer.
    
    Je me réfugiai dans la patience que je m’étais inventée. C’était à moi qu’il appartenait d’être sage, raisonnable… Je me l’imposais.
    
    Alors que tu le cajolais, laissant libre cours à ta dévotion pour celui à qui tu avais donné les clefs de notre vie, il y avait, déjà, cinq ans de cela, je te contemplais et je rêvais…
    
    Dans la grande maison de pénombre calme, au grand lit, nue, tu serrais contre moi la liane de ton corps flexible et délicat que j’avais enlacé de mes bras.
    
    Ma main glissait le long de tes courbes, lisses, abîmes de douceur, où je me noyais, éperdu de bonheur. Tes gémissements me disaient ton désir, submergée par l’envie de te faire prendre sauvagement. Tu devenais ma garce, ma tendre salope, tu te faisais mienne…
    
    Mes mains glissant sur tes épaules, frôlaient ta poitrine, descendaient vers tes hanches, glissaient doucement sur ton entrejambes… remontant, elles effleuraient délicatement ton précieux bourgeon, déjà dur de plaisir.
    
    Mes caresses se faisaient plus intenses. Par moments je les faisais griffures, striant ta peau, provoquant spasmes, contractions et gémissements qui attisaient ma ...
    ... jouissance.
    
    Mes doigts se faisaient entreprenants, s’introduisant en toi quand bon leur semblait, tantôt dans ta chatte incandescente, tantôt dans ton tendre annelet. Tu criais ta jouissance et t’ouvrais à mon désir, sans pudeur, sans réserve. Noyée de plaisir, tu te découvrais soumise.
    
    Tu découvrais sur mes doigts, le goût de ta luxure, et je lisais dans ton regard voilé, toute la lubricité coupable et si merveilleusement épanouissante que nos jeux charnels éveillaient, au plus profond de toi.
    
    De ta langue impatiente, tu commençais à me lécher, remontais le long de mon sexe, gonflé par le désir. Tu me léchais, goulûment, laissant libre cours à ta convoitise. Tu te délectais de mon gland soyeux, gonflé de sève, tes lèvres l’enserraient, puis délicatement tu l’aspirais et l’enfonçais au plus profond de ta bouche.
    
    Fou de désir, je te saisissais par la taille, t’amenais sur moi et te faisais lentement glisser sur mon mandrin dressé. Tu t’y empalais dans un long gémissement, m’enserrant de son précieux fourreau soyeux inondé de ta cyprine.
    
    Tu avais passé tes bras autour de mon cou, et avec de doux et longs feulements, m’embrassant avec une douceur attentive, tu ondulais, avec de lents mouvements du bassin, alors que je me tendais de toute la force de mon mandrin sur ton trésor, moite de désir.
    
    Ton tendre petit con inondé de ta mouille et ton bourgeon turgide étaient embrasés de désir. Tu te laissais pénétrer, intensément, profondément. Tu ne gémissais plus, tu hurlais ...