L'ouvrière Soumise Ch. 03
Datte: 10/03/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGKCD, Source: Literotica
... mien témoigne de sa domination. Son ventre poilu qui écrase à présent mes reins, ses jambes qui contrôlent les miennes, ses mains m'assurent de la présence d'un homme qui fait ce que tout homme doit faire, utiliser sa supériorité.
Marcel glisse une main entre mes cuisses, et très doucement, il commence à me caresser, au début seule la douleur est présente, il faut un bon laps de temps avant que je ressente les bienfaits de ses doigts sur mon clitoris, petit à petit j'ai moins mal, je sens une douce chaleur m'envahir.
Sous l'effet magique de ses doigts, je me mets à gémir, onduler d'avant en arrière, mon anus se dilate de plus en plus, lui ne bouge pas, c'est moi qui me sodomise sur sa queue dure comme du bois, puis l'orgasme clitoridien m'emporte, mes mouvements deviennent de moins en moins coordonnés. Petit à petit mes gémissements s'estompent, laissant place à des plaintes plus rauques venant du fond de ma gorge, qui d'évidence ne sont pas dues à la douleur.
Marcel se met en mouvement lentement, prenant soin de toujours se renfoncer totalement pour assouplir mon boyau récalcitrant. D'ailleurs mon anus reste ouvert même quand la bite de Marcel ressort et la pénétration devient de plus en plus aisée ne rencontrant plus aucun obstacle. Marcel reprend l'initiative, il fait ressortir entièrement sa queue pour la replonger immédiatement. Il recommence la manœuvre plusieurs fois, me provoquent des râles. Je sens quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher ...
... mon sexe avant d'atteindre à mon cerveau, c'est un orgasme naissant que j'essaye de refouler.
J'ai la bouche ouverte, mais muette, devant cette sensation nouvelle et qui bouleverse tous mes sens, sentant monter quelque chose d'inconnu le long de sa colonne, quelque chose que je ne contrôle plus. Les cris rauques recommencent à sortir de mes lèvres, de plus en plus forts au rythme de la cadence et de l'amplitude des mouvements de la bite de Marcel qui ressort de plus en plus loin avant de replonger dans mes profondeurs anales. Il commence à me pilonner de plus en plus violemment, ressortant parfois de mon anus qui forme maintenant un rond d'un diamètre de plus en plus large, puis replonge pour s'enfoncer sans résistance jusqu'au fond de mes riens. Sans pudeur comme une chienne, je frotte mes fesses sur son bas ventre.
Je rentre en transe, je me mets à hurler ma jouissance en me cabrant, un liquide transparent se mis à gicler de ma grotte tandis que mon amant redouble d'ardeur. J'ai le corps couvert de chaire de poule devant tant de jouissance, je crie mon nouveau plaisir, allant au devant du membre qui m'ouvre les fesses de plus en plus profondément.
- Ah, putain, t'aimes ça hein? Regarde, comme tu aimes prendre ma queue...
Moi, je prends un gourdin dans mon jardin qui n'a plus rien de secret pour la queue de Marcel qui imprime sa vitesse, de plus en plus grande, et c'est lui qui retient réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.
Un bruit de succion ...