1. Souvenirs à la campagne


    Datte: 03/03/2025, Catégories: et, hf, hh, Masturbation Oral pénétratio, initiatiq, candaul, Auteur: Patkik, Source: Revebebe

    ... J’ai pris sur moi-même, j’avais la verge tendue dans mon bleu de travail, elle ne pouvait pas voir dans quel état j’étais.
    
    Je suis en retard ce matin : panne d’oreiller. En plus, il fait un temps épouvantable. Je pédale comme un fou, tout à coup, c’est le déluge, une forte averse me tombe dessus. En un rien de temps, je suis trempé, et quand j’arrive à la ferme je suis une éponge. Louise me voit arriver.
    
    — Mais dans quel état tu es ? Tu ne peux pas rester comme ça.
    
    Je n’ai aucune réaction. Je suis debout au milieu de la salle à manger, elle me déshabille, vêtement par vêtement, je sens qu’elle y prend plaisir. Ni l’un ni l’autre ne parle, j’apprécie ce moment, ses mains sont étonnamment douces. Elle s’agenouille pour déboutonner mon pantalon et me le retirer, son visage est à la hauteur de mon slip qui est trempé aussi, Louise me le descend le long des jambes. Bizarrement, je ne bande pas, je suis trop stressé. Elle se relève, elle prend une serviette et m’essuie les cheveux, le dos, les fesses, mon sexe commence à réagir. Elle me frotte les pectoraux, descend sur mon ventre et aussi sur mon sexe, je durcis. La serviette tombe, sa main s’empare de ma tige. La nature m’a gâté, ma verge est longue et épaisse, mes bourses sont plutôt petites, j’ai un pubis peu fourni. Louise, tout en délicatesse, me décalotte, elle respire plus fort, moi j’ai des petits gémissements, elle arrête de peur sans doute que je jouisse trop vite… elle n’a pas tort. Elle se met toute nue et me ...
    ... demande si j’ai déjà fait l’amour à une femme, je ne cherche pas à lui mentir. Son visage s’illumine, elle prend mes mains et les poses sur sa poitrine. C’est agréable, je touche enfin des seins de femme, je suis dans un rêve, là, je les caresse. Elle m’attire la tête vers ses testons, je les suce, chacun leur tour. Louise est très sensible, elle gémit. Je prends de l’assurance, d’instinct je vais la caresser entre les cuisses, elle a une touffe très fournie, je passe un doigt tout le long de sa fente, elle grogne. Brusquement, elle s’écarte de moi, je suis surpris, elle va s’allonger sur le dos au bord de la grande table en bois de la salle à manger, elle écarte les cuisses, jambes relevées. Elle est totalement ouverte, terriblement indécente.
    
    — Prends-moi !
    
    C’est comme un ordre, elle n’attend que ça, je ne me fais pas prier. Je suis comme fou, sa chatte est grande ouverte, la table est un peu haute, je suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds pour la pénétrer. Elle est trempée, mon sexe va et vient, toute la longueur de ma verge rentre dans son vagin. Elle grogne, elle me parle crûment, ça a le don de me motiver encore plus. Je ne veux pas jouir trop vite, je ralentis la cadence, elle ne l’entend pas de cette façon, elle m’encourage et me demande d’y aller plus fort. J’obéis, je me lâche complètement. C’est assez bestial, elle crie, l’orgasme est grandiose, je gicle. Mes jambes sont tremblantes, j’ai pris un pied incroyable, je me sens grand, fier de moi, j’ai ...