Souvenirs à la campagne
Datte: 03/03/2025,
Catégories:
et,
hf,
hh,
Masturbation
Oral
pénétratio,
initiatiq,
candaul,
Auteur: Patkik, Source: Revebebe
... je reste figé : une femme fait son ménage, elle est agenouillée au sol et frotte je ne sais quoi, sa jupe est complètement retroussée. De voir ses fesses tendues et sa petite culotte lui rentrer dans la raie ne me laisse pas indifférent, j’ai une érection immédiate. J’ai chaud tout à coup, mon short est tendu, je ne pourrais pas lui cacher mon émoi, j’essaye d’être le plus discret possible sans perdre une miette du spectacle qui m’est offert. Hélas, elle a dû sentir ma présence, elle tourne la tête dans ma direction, je me sens comme pris sur le fait, je sais plus où me mettre.
— C’est toi le jeune Philippe ?
— Oui madame.
— Viens me voir, entre !
Je suis dans une situation inconfortable et dois me présenter à elle, la bosse de mon short bien en évidence. Je lui donnerais la quarantaine, elle est légèrement enrobée. Sous son polo couleur pomme dont les boutons du col sont déboutonnés, on devine une forte poitrine, par contre, son visage est magnifique, brune aux yeux verts, un regard déterminé, elle semble être une femme qui sait ce qu’elle veut. J’ai l’impression d’être passé au crible, elle me regarde de haut en bas… difficile de lui cacher mon émoi, je suis tout rouge, confus. Elle fait comme si de rien n’était mais elle a un petit sourire qui en dit long.
Elle me fait visiter la ferme, elle m’explique le travail que je devrais faire. Comme je serais en contact avec la clientèle, elle veut que je sois aimable, accueillant, et elle rajoute, le sourire aux lèvres ...
... :
— Mignon comme tu es, tu devrais plaire à ces dames.
Le compliment me fait rougir, elle rit aux éclats.
— Tes grands-parents m’avaient prévenu que tu es un grand timide.
Au moment de partir, j’entends un tracteur qui se gare dans la cour, un homme en descend, il se dirige vers moi, à mon avis c’est Jean, le mari de Louise. Physiquement, il en impose, il est plutôt grand, ses cheveux bruns sont coupés très court, il est vêtu d’une salopette de travail bleue et d’un maillot de corps en dessous – en ce tout début de juillet, il commence à faire chaud –, il a un visage sympathique.
— Bonjour, tu es Philippe, content de t’avoir avec nous !
Il me demande si sa femme m’a tout expliqué, je le lui confirme, je lui dis à demain et me sauve. Je suis soulagé, ravi, j’ai hâte de commencer.
Voilà une semaine que je travaille chez eux, j’ai vraiment pris mes marques. Je me surprends à être complètement à l’aise avec les clientes, je m’aperçois que j’ai un franc succès auprès de ces dames, j’ai même de la répartie quand elle me charrie. Je soigne ma timidité à vitesse grand V, par contre, Louise me trouble de plus en plus, le matin quand on récolte les légumes, elle prend des postures dans lesquelles elle me laisse apercevoir sa petite culotte. Hier, elle était juste vêtue d’une blouse, déboutonnée du haut, pas de soutien-gorge, et un moment, elle se penche sans plier les jambes… le vêtement est remonté, elle était cul nu, j’ai tout vu, j’ai failli lui sauter dessus. ...