Vers de nouveaux horizons
Datte: 02/03/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fhhh,
Oral
fgode,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
historiqu,
totalsexe,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... versement de sa rente.
Après quelques jours d’attente, Mademoiselle de Villerutay prend le chemin du château berceau de sa famille, non, quoi qu’elle en dise, sans une certaine appréhension. Cela la taraude toujours quelque peu.
Le premier soir, elle retrouve Eudes près des chariots, et deux bonnes heures durant se fait pilonner, du moins, quand elle ne le suce pas pour le remettre en de bonnes disposions. Les sensations ne sont pas aussi fortes que lors de leur premier tête à tête, mais c’est quand même diablement bon de sentir son sexe ainsi empli, et même plus qu’empli, occupé, envahi, presque dévasté. Elle ne peut s’empêcher de bramer, malgré la résolution qu’elle avait de se montrer discrète. Nul ne peut ignorer qu’elle s’est fait baiser et qu’elle y a pris plaisir. Elle reste pantelante quand l’étreinte cesse. Les gens alentour n’en sont pas mécontents. Ils vont, enfin, pouvoir dormir tranquilles.
Le lendemain, Eudes annonce :
— Ce soir, je rentrais tard. Je dois aller visiter de la famille.
— Pas de problème, répond Claire, pas mécontente malgré tout de souffler un peu.
— Notre accord prévoit que le soir vous assuriez une prestation à l’étape.
— Cela est exact, dit Claire qui n’apprécie que modérément qu’on lui rappelle que l’usage de sa personne fait partie d’un accord. Cela lui fait par trop prendre conscience du fossé qui sépare sa situation actuelle de celle qu’elle occupait il n’y a pas si longtemps.
— Comme je ne puis en profiter moi-même. ...
... C’est Maximilien qui le fera. Une sorte de prime que je lui accorde.
Claire va pour protester, mais se ravise. Après tout, le bonhomme a raison, cependant elle est ulcérée de se voir céder ainsi, comme une marchandise. Elle se résonne, car elle doit s’y habituer et laisser de côté des états d’âme qui n’ont plus de raison d’être. C’est elle qui a choisi, rien ne l’y obligeait. Elle doit assumer qu’elle est une putain.
— Dans la remise, près des chariots, comme avec vous ?
— Oui, je n’aime pas les laisser sans surveillance.
En effet, le transporteur a trouvé des marchandises à livrer sur le trajet. C’est préférable que de faire le voyage à vide et cela compense largement le rabais consenti pour les « services nocturnes » de Claire. Quand Eudes lui a annoncé, elle a voulu renégocier. Il lui a fait valoir qu’il n’y avait aucune raison à cela. Le contrat prévoyait le transport du château à Lésoran, ce qui allait être fait, il respectait donc le contrat. Ce qui se passait avant ne la concernait pas. Bien qu’ayant le sentiment de s’être fait duper, elle ne peut qu’en convenir. Ils arrivent à l’étape tôt. Visiblement, il veut profiter de sa visite,
Maximilien l’entraîne, avant même de manger. C’est un délicat. Il prend son temps. Après l’avoir laissé sucer, il la caresse, lui broute le minou, et il sait y faire, puis s’allonge et la fait venir sur lui. Il peut ainsi, à loisir, lui cajoler la poitrine et même son petit bouton. Elle y prend plaisir, certes pas le même genre ...