1. Vers de nouveaux horizons


    Datte: 02/03/2025, Catégories: fh, ff, fhhh, Oral fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, historiqu, totalsexe, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    En fin de récit, vous trouverez pour les mots dont l’usage s’est perdu (ils sont suivis d’un astérisque) un équivalent en français moderne
    
    Vous y trouverez aussi les liens vers tous les épisodes précédents.
    
    Mademoiselle de Villerutay est entre Frantz von Wallendorff qui la baise et son cousin Hans von Wallendorff qui l’encule tandis qu’elle œuvre de la langue et des lèvres sur les queues de Maximilian von Spee et de Max von der Goltz lorsque la porte s’ouvre. Trop accaparés par leurs exercices génésiques, les cinq protagonistes n’ont point prêté attention au bruit de chevaux arrivant, pas plus que Perrine trop occupée à mater.
    
    Aussi, quand une voix lance « Bonjour ma… » avant de s’arrêter de saisissement au milieu de ses salutations. N’eût-elle été prise entre ses deux partenaires, Claire aurait fait un bond de deux pieds. Le comte, son père, ferme prestement la porte après avoir ordonné :
    
    — Messieurs, allez aux cuisines vous rafraîchir.
    
    Claire et ses galants sont pris de frénésie, chacun essayant de se vêtir au plus vite. L’amiral regarde la scène impassible. Quand tous ont retrouvé une tenue à peu près décente :
    
    — Messieurs. Je ne vous retiens pas.
    
    Les quatre hommes s’empressent de filer. Il regarde sa fille qui tente :
    
    — Je puis vous expliquer, c’est…
    — Vous pensez que j’ai besoin d’explications !
    — Je voulais leur soutirer des renseignements.
    — J’ai pu constater effectivement que vous étiez en pleine ...
    ... discussion sur les armements et l’attitude de la Ligue vis-à-vis de la guerre. Ma fille, vous me prenez pour un demeuré.
    — Je vous assure…
    — Il suffit. Non seulement vous êtes une gourgandine, mais en plus une menteuse. Votre mère doit se retourner dans sa tombe. Dieu merci, demain ces individus partiront. Je leur ferais comprendre qu’il n’est pas de leur intérêt de se montrer bavard. Il faut éviter que tout cela ne s’ébruite et que notre nom ne soit associé à un scandale. Qui est au courant ? Perrine bien sûr, mais qui d’autre ?
    
    Claire garde le silence.
    
    — Je vois, tu étais trop occupée pour t’en inquiéter.
    
    Perrine approche. Cette dernière jette un regard désespéré à sa maîtresse, mais est contrainte de narrer l’arrivée du vice-amiral et comment Mademoiselle avait essayé de le retenir devant le père Duperche ébaubi.
    
    — Bon, il n’y a pas d’inquiétudes à avoir du côté de Monsieur de Sombreuil. C’est un gentilhomme et il n’y en a pas plus avec Duperche. Allez préparer vos affaires, nous partons sur l’heure. Je vais donner des ordres pour que les officiers qui m’accompagnent poursuivent leur chemin jusqu’à l’Hôtel de la Marine et annoncent mon arrivée prochaine. Allez, hâtez-vous, il ne faut point tarder. Perrine, aidez-la, nous irons à cheval.
    
    Sans laisser à sa fille le temps de répondre, il tourne les talons et s’en va à grands pas rageurs. Dix minutes plus tard, Claire entend les hommes de son père reprendre la route. Elle est effondrée. Charles d’abord et son père ...
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