1. Vers de nouveaux horizons


    Datte: 02/03/2025, Catégories: fh, ff, fhhh, Oral fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, historiqu, totalsexe, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... l’a ouïe.
    — Elle aime ça se faire ramoner. J’ai cru qu’elle ne serait jamais rassasiée, et puis pof… elle s’est endormie d’un coup, comme une masse, alors que je la baisais encore. Avec moi, les dames sont plutôt sur la réserve, certaines même ne peuvent pas, mais avec elle pas de problèmes… C’est rentré sans peine et elle adore. Y a qu’à la voir tortiller du croupion.
    — Nous ne la connaissons que depuis peu, mais nous avons tout de suite compris qu’elle était portée sur la chose.
    — Oui, comment ?
    — Je suis là. Au lieu d’épiloguer sur mes manières, vous feriez mieux d’aller quérir de l’eau que je puisse me laver. Je voudrais pouvoir manger avant le départ.
    
    Les commentateurs de ses mœurs se dispersent et les deux filles lui rapportent un seau d’eau, du savon et des serviettes. Après une toilette bien nécessaire, elle rejoint ses amies dans la salle commune pour déjeuner. À son entrée, tous les regards se tournent vers elle et les commentaires chuchotés vont bon train. Elle ignore superbement tous les yeux qui se tournent vers elle, bien qu’elle se rende compte qu’elle est le centre d’intérêt de toute la salle. Elle expédie rapidement le repas ne voulant quand même point par trop s’attarder.
    
    Arrivées à destination, elles se renseignent sur les bordels existants. La chance leur sourit. Elles apprennent que Gudule Lerceteau, tenancière d’une maison nommée « Aux Belles Poules » qui vivote, voudrait, l’âge venant, se retirer.
    
    Claire, qui a le plus de facilité à ...
    ... s’exprimer, conduira la négociation. Elles sont accueillies d’un :
    
    — Je ne cherche pas de nouvelles pensionnaires. La maison va fermer.
    — C’est ce que nous avons ouï dire.
    — Alors, que venez-vous foutre ici ?
    — Nous aimerions discuter d’une éventuelle reprise.
    — Qui est le repreneur ?
    — Nous.
    — Vous ! Toutes seules !
    — Oui, nous.
    — Vous allez vous faire bouffer toutes crues.
    — Crues, cela peut être dur. On risque de s’y casser les dents et en plus ça peut être indigeste et rendre malade.
    — Vous m’êtes sympathiques, répond-elle en riant. Même si ce n’est pas mon intérêt, je ne vais pas vous mentir. C’est vous qui risquez d’avoir les dents cassées et pas seulement au figuré. Certains verraient d’un mauvais œil que la maison soit reprise.
    — C’est ce que nous avons entendu dire, mais ce sera quand même moins difficile que d’en ouvrir une nouvelle.
    — C’est vrai.
    
    La discussion se poursuit par un âpre marchandage. Les filles ont un petit avantage, elles savent qu’il n’y a pas d’autres repreneurs et pour cause la tenancière n’envisageait pas de pouvoir vendre son petit commerce, mais seulement le bâtiment.In fine, la reprise leur coûte une bonne partie de leur argent, de plus elles devront verser une rente à vie à la future retraitée, hors les six premiers mois suivant l’accord, mais à la condition de convaincre le personnel de demeurer, ce qu’elle réussit sans mal. Il ne reste que trois filles, dont une assez jeune, les deux autres… ont de l’expérience, une bonne, une ...
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