Vers de nouveaux horizons
Datte: 02/03/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fhhh,
Oral
fgode,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
historiqu,
totalsexe,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... doit partir dans une heure. Il doit nous transporter jusqu’à la ville.
— Croyez-vous qu’il accepterait une troisième passagère ? Je ne me sens pas de faire des heures de cheval.
— On se demande bien pourquoi, dit Jocelyne.
Et les trois jeunes femmes d’éclater de rire.
Le transporteur accepte moyennant un petit supplément. À l’étape du soir, il se montre entreprenant avec Jocelyne. Celle-ci, toujours un peu fatiguée par les exercices de la précédente nuit et le peu de sommeil, ne tient pas à une partie de jambe en l’air. Ses compagnes la poussent à ne pas le décourager et récupérer l’argent qu’elles lui ont versé avec un petit bonus. Elles lui font remarquer que le bonhomme n’est plus tout jeune et que cela devrait être rapidement expédié. Elle en convient et tandis que ses compagnes vont dormir dans la chambre commune, Adeline ayant fait remarquer que la dépense d’une chambre particulière est superflue, elle suit l’homme, qui s’appelle Eudes, dans la remise où il couche à côté de son chargement.
Hélas pour elle, Eudes est certes un homme mûr, avec des cheveux gris, mais il n’est nullement décrépi. Loin de là. La première surprise survient quand elle ouvre la culotte. Ce qu’elle découvre la laisse incrédule. Certes, chez la Radcliff, elle avait déjà vu des vits de belles tailles, mais elle ne se rappelle pas en avoir vu de pareils. Plus d’un ne serait pas mécontent d’avoir en action ce que le transporteur a quasi au repos. Le simple fait de le nettoyer un tant ...
... soit peu le met au garde-à-vous. Tudieu ! l’engin déployé mesure au moins un pied et quant à son épaisseur, elle doit dépasser les deux pouces. Comme elle est encore accroupie, elle ouvre largement la bouche et gobe la tête. Elle met de l’ardeur à le pomper avec l’idée d’abréger. Elle est déçue, malgré l’allant qu’elle y met, il résiste. Après l’avoir laissée œuvrer plusieurs minutes, il lâche, non pas le foutre attendu, mais :
— Allez, ma belle, assez joué. Mets-toi à quatre pattes que l’on passe aux choses sérieuses.
Sitôt qu’elle est en position, il l’enfile. Tout ne rentre pas, mais elle a quand même l’impression de n’être qu’une poularde que l’on embroche et que cela va lui ressortir par la bouche. Avec une régularité de métronome, il la pilonne. Avec le temps, cela est moins déplaisant, malgré ça, elle trouve, quand même, que ça dure une éternité. Enfin, il se retire et se vide sur ses fesses. Ouf ! Son soulagement est de courte durée. Il se positionne devant sa bouche. Résignée elle se met à l’ouvrage. En plus, il lui faut peu de temps pour redevenir raide. Il la laisse faire, en faisant quelques commentaires élogieux quant à son talent de suceuse. Pourtant il la soulève pour l’allonger sur un établi pour à nouveau la baiser, toujours aussi puissamment. Ce n’est pas le pied, mais ça va mieux que la fois précédente. Cette fois, c’est sur son ventre qu’il se répand. Et il repart pour un tour, puis encore un autre et enfin un dernier. Quand il s’arrête enfin de la ...