1. Chambre 26: carrousel céleste


    Datte: 02/03/2025, Catégories: f, h, fh, fhhh, hplusag, extraoffre, hotel, boitenuit, voyage, voiture, autostop, telnet, Masturbation caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, jeu, zoo, Auteur: Nycthémère, Source: Revebebe

    ... atteinte. Je caresse le ventre de Célia pour l’aider à reprendre le fil de son histoire.
    
    Après une telle confidence, je ne sais trop si je dois tenter d’apaiser les émotions que ce souvenir a réveillées, ou si Célia préfère rester dans sa bulle. J’attends immobile tout contre elle.
    
    Elle finit par prendre ma main et la pose sur ses seins. Elle veut mes caresses et des baisers. Délicats et respectueux, exige-t-elle, tout en m’avertissant que l’hypersensibilité de ses seins pourrait provoquer un soudain et violent rejet de tout contact physique.
    
    — Peu d’hommes savent m’exciter vraiment de cette manière.
    
    Je fais apparemment partie des heureux élus. Quelques attouchements plus tard, elle glisse sa main entre ses cuisses et commence à se caresser. Aux ondulations de son corps, je sens le plaisir monter en elle. De plus en plus fort, de plus en plus vite. L’orgasme finit par arriver, léger, bref, superficiel, mais apaisant. J’effleure ses lèvres de mes doigts pour y cueillir son sourire, puis je pose ma tête sur sa poitrine.
    
    ooo000ooo
    
    Lorsque les battements de son cœur sont plus réguliers, Célia reprend la main.
    
    — À ton tour, maintenant. Fais tourner le manège des souvenirs… encore… encore… Stop !
    
    J’interromps mon récit pour donner le temps à Célia de se représenter la scène.
    
    — Ne me fais pas languir, à quelle sauce a-t-elle mangé le puceau ?
    — Le réveil tonitruant du puceau. Oubliée l’infidèle en stage et l’heure de départ du ferry ?
    — Rien de cela. ...
    ... La belle a l’orgasme à fleur de peau. Elle repart pour un tour avant même la fin de l’introduction complète du chapelet dans son vagin.
    
    À peine ai-je terminé mon récit que je sens Célia se redresser. Elle ne dit rien. J’ai peur d’être allé trop loin dans les détails. Peur qu’elle mette fin à notre doux délire.
    
    Il n’en est rien. Elle s’allonge au contraire tête-bêche, exactement comme l’avait fait l’Allemande. Après quelques reptations du bas du corps, son clito se trouve exactement à portée de ma langue. Inversement, mes boules sont à portée de sa bouche. Elle ne tarde pas à les mettre bien au chaud entre ses lèvres. Pour commencer…
    
    Je m’abandonne au plaisir qu’elle me donne lorsqu’elle m’interpelle en allemand : « Wenn Du mich richtig leckst, pumpe ich Dich leer. Wirklich leer » (si tu me lèches bien, je vide tes couilles à sec, vraiment à sec). Cette manière ludique de baiser m’excite. Sans parler des souvenirs troublants que la langue de Goethe réveille dans mes glandes.
    
    Rapidement, comme à Ostende6 avec ma walkyrie, j’arrive à faire jouir Célia avant de me lâcher, profondément enfoncé dans sa gorge.
    
    Entre ses belles fesses, pas d’asphyxie, pas d’inondation, juste un intense bonheur de la sentir orgasmer sous mes coups de langue, en proférant à nouveau quelques mots d’allemand, sans doute assez obscènes.
    
    ooo000ooo
    
    Lorsque la messe impie est dite, Célia revient face à moi, pose ses lèvres sur les miennes et me fait partager ce qui enduit sa langue.
    
    — ...
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