1. Le cadeau


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fh, cadeau, inconnu, voisins, fépilée, revede, miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... croise les jambes, bien haut, pour que la jupe remonte et qu’il voit la cuisse au-dessus du bas. Puis elle écarte les jambes pour qu’il voie sa culotte. Le jeune homme en profite, ne la quitte pas des yeux. Puis soudain, il se lève pour descendre.
    
    — Merci pour le spectacle, dit-il avec le sourire en passant près d’elle.
    
    Il descend et s’éloigne sur le trottoir sans se retourner. Évidemment, ce n’était pas lui. Elle s’est donnée en spectacle pour rien. Enfin, pas vraiment pour rien puisqu’elle est toute mouillée.
    
    En entrant dans l’immeuble, elle croise le gardien, appuyé sur son balai. L’homme siffle entre ses dents sur son passage, mais il a toujours sa vieille salopette sale et ne lui adresse pas la parole. Elle décide que ce n’est pas lui. Il n’a pas les moyens de se ruiner dans une boutique de luxe et elle ne veut pas que ce soit lui. Ce serait trop moche. Or, plus le temps passe, plus elle imagine une belle histoire.
    
    Philippe boit un café assis sur le bureau de Sandrine quand elle entre dans l’open-space. Il plaisante avec sa collègue, mais peut-être l’attendait-il et donnait-il le change. Elle lui sourit et lui demande s’il veut bien lui rendre son bureau. Il rit et s’écarte, sans la quitter du regard. Il faut dire qu’il a les nichons de Sandrine très près de son visage. Mais il ne dit rien et il sort. Sandrine se dit qu’il va certainement la convoquer dans son bureau un peu plus tard, mais la matinée avance et rien ne se passe.
    
    Alors elle décide de ...
    ... jouer le tout pour le tout. Elle passe aux toilettes pour vérifier son maquillage et essuyer sa culotte qui est très humide. Puis elle frappe à sa porte et entre. Elle avait prévu un prétexte pour se retrouver là, mais elle a oublié alors, le cœur battant, elle s’appuie des deux mains sur le bureau encombré de documents, se penche vers son chef et lui dit :
    
    — Je sais tout, Philippe.
    — Tu quoi ?
    — Si tu veux qu’on en parle, on peut se retrouver ce soir et aller boire un verre. Qu’est-ce que tu en dis ?
    — Oui. Bonne idée. OK, Sandrine.
    — À ce soir, espèce de fou.
    
    Elle fait demi-tour, se sent envahie de désir à l’idée qu’il regarde ses fesses. Un dernier coup d’œil lui permet de voir qu’il n’a pas bougé, qu’il est blanc comme un linge. Sandrine pense que les rumeurs sont trompeuses. Ce type est si timide qu’il est incapable de parler à une femme et il invente des stratagèmes compliqués pour arriver à ses fins. À l’idée de finir l’après-midi dans une chambre d’hôtel avec lui, elle est comme une pile électrique. Il doit certainement avoir une petite quéquette, c’est ça qui le rend timide. Elle s’en moque. Après trois ans d’abstinence, elle s’en contentera.
    
    La journée est longue. Elle ne travaille pas beaucoup, toute à ses pensées, mais ce n’est pas grave. Ici, tout le monde a l’habitude qu’elle ne fasse rien. Contrairement à son habitude, on ne revoit pas Philippe de la journée. Pas de demande de dernière minute, pas de petite visite amicale à l’une ou l’autre de ses ...
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