1. Le cadeau


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fh, cadeau, inconnu, voisins, fépilée, revede, miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... à quoi elle s’attendait. Parfois, son mari l’obligeait à boire son sperme et elle n’a jamais aimé ça. Elle le prend dans sa bouche et il durcit presque aussitôt. C’est bon de faire cet effet à une bite, alors elle pompe, doucement d’abord puis avec avidité, sans ménagement. Elle lève les yeux vers le propriétaire, il n’a pas l’air de se plaindre. Il la regarde avec des yeux brillants et ce petit sourire auquel elle commence à s’habituer. Elle pompe encore et il dit « Stop ! », il demande une pause qu’elle ne lui accorde pas. Elle pompe toujours et il la tire en arrière par les cheveux. Le gland qui s’échappe de sa bouche fait un « flop » assez comique.
    
    — Hmmm, fait-elle. Tu n’es pas très résistant. Où veux-tu qu’on baise ?
    — Devant un miroir. Je veux qu’on se voie le faire.
    — Et moi, non. Je refuse de me voir. Mais comme je suis magnanime, je t’emmène à la salle de bains, mais sache que je fermerai les yeux tout le temps.
    
    Mais elle ment. Elle s’installe, les mains posées sur le bord du lavabo, les fesses relevées par les talons des chaussures qu’elle n’a toujours pas quittées et elle ferme les yeux au début. Elle ne les ouvre pas tant qu’il lui caresse les fesses, glissant même un doigt irrespectueux dans son œillet bien serré. Mais quand il la ramone comme une cheminée encrassée, elle les ouvre et le regarde faire. Elle voit les muscles de ses bras tendus, son visage rougi et ravagé par le plaisir, ses cheveux hirsutes et ridicules qui volent au-dessus de sa tête ...
    ... et quand il va jouir, elle croise son regard et cet échange allume un incendie dans son ventre. Cela va peut-être durer. Ils vont peut-être le faire encore et encore jusqu’à ce qu’ils en aient assez. Elle ne va plus être seule dans son grand lit. Elle pleure, de grosses larmes qu’elle laisse couler sur ses joues.
    
    Il jette le préservatif dans la poubelle et il la prend dans ses bras. Il ne dit rien à part de petits « Chut ! » accompagnés de baisers dans le cou. Puis il la soulève comme si elle ne pesait pas plus qu’une petite fille. Elle se sent d’ailleurs comme une fillette inconsolable et elle pleure encore plus tandis qu’il l’emmène dans la chambre, qu’il la couche sous la couette, qu’il éteint la lumière et qu’il se glisse à côté d’elle, collé comme une patelle sur son rocher.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? demande-t-elle à travers ses larmes.
    — Chut, je dors.
    — Tu ne peux pas dormir ici ! s’exclame-t-elle en riant maintenant.
    — Pourquoi, princesse ?
    — Parce que… parce que j’ai faim. Tu dois aller à la cuisine et me ramener un plateau-repas. Il doit y avoir des radis et du fromage dans le frigo, du pain sur le plan de travail et une bouteille de blanc… dans le frigo aussi. Exécution !
    
    Et il se relève, nu et poilu, sans un mot de protestation. Sandrine a envie de recommencer à pleurer. Personne ne lui a jamais apporté un plateau dans son lit. Elle a même une surprise quand il revient : il y a deux flûtes et une bouteille de champagne au lieu de son vin blanc de ...