Le cadeau
Datte: 28/02/2025,
Catégories:
fh,
cadeau,
inconnu,
voisins,
fépilée,
revede,
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... te possède petit à petit.
Il continue encore et encore puis il la retourne et recommence sur son dos, le creux de ses reins, le sommet de chacune de ses fesses. Sandrine s’est laissé faire, elle se sent bien comme jamais détendue et calme. Il peut prendre ce qu’il veut, elle le donnera.
Et d’ailleurs, il se décide. Elle sent son poids sur elle, ses poils contre son dos, sa barre à mine qui se glisse entre ses cuisses. Elle lui laisse le passage et enfin elle le sent en elle, prenant toute la place, bien dur, qui coulisse facilement, avec son ventre qui vient buter contre ses fesses. Il a un bon coup de reins, rapide et puissant. À chaque fois, elle a l’impression qu’il va plus loin. Elle recommence à jouir, alors elle pousse de petits cris. Avant, elle avait besoin qu’il se taise et il s’est tu, mais maintenant, elle voudrait qu’il parle.
— Ça te plaît, salaud de voyeur, ce gros cul ? C’est ça que tu voulais, hein ? Dis-le-moi !
Mais il ne répond pas, il la baise, il souffle fort et elle est secouée comme un tas de gélatine par ses coups de queue réguliers et puissants. Elle crie encore. Elle réclame encore des mots sur cette baise qui la tue.
— Tu… es… la plus belle… salope… que j’ai jamais eue ! hurle-t-il.
Et en même temps, elle sent son foutre la remplir. C’est une impression parce qu’il a enfilé un préservatif, mais elle le sent vraiment et elle jouit une fois de plus, et elle répand son jus sur le lit une fois de plus.
Il y a un temps de silence. Il ...
... est retombé sur elle, il l’écrase et c’est bon, même si elle a du mal à respirer. Elle avait peur que ce soit un freluquet et il est lourd sur elle, échoué comme un gros morse sur son dos. Puis il roule et lui murmure un « merci » dans l’oreille. Puis elle écoute son cœur reprendre un rythme normal, les bruits des voitures dans la rue.
— Bien, dit-elle finalement. Tu t’es bien comporté pour un petit voyeur. Tu peux rentrer chez toi.
— Non, répond-il.
— Comment non ?
— Je reste. Ça ne m’a pas suffi. Je veux recommencer.
— Pourquoi, Antoine ? Pourquoi veux-tu recommencer ? Tu as eu ce que tu voulais, non ?
— Non. Je te veux encore, tout le temps, partout.
— Tu n’as pas bien regardé, alors. Je suis grosse, vilaine et idiote. Ce n’est pas suffisant ?
— Ce n’est pas vrai, Sandrine. Tu es ronde et j’aime ça. Tu n’es absolument pas vilaine et si tu es idiote, je suis tombé amoureux d’une idiote.
— Merde, ce n’est pas drôle ! Comment je peux te croire, moi ? Tu débarques dans ma vie comme un ouragan, tu me baises comme un dieu grec et tu dis que tu es amoureux.
— Ne me crois pas. Continue à me donner des ordres, s’il te plaît.
— Rentre chez toi.
— Non, pas celui-là, un autre.
— Laisse-moi sucer ta vilaine queue molle et visqueuse.
— J’obéis, ô, ma reine.
Sandrine se penche, joue un peu avec la bite épaisse et trouve que sa main est bien petite autour de ce gros machin. Elle le lèche un peu, de la pointe de la langue. Le goût n’est pas si mal, moins écœurant que ce ...