Le cadeau
Datte: 28/02/2025,
Catégories:
fh,
cadeau,
inconnu,
voisins,
fépilée,
revede,
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... peine fini. Elle regarde une dernière fois la grosse putain dans le miroir et va ouvrir la porte.
Ils se regardent un instant, sans parler, lui avec un air d’amoureux transi auquel elle ne croit qu’à moitié et elle avec un air dur de juge d’assise.
— Pas de gifle, s’il te plaît, dit-il avec un demi-sourire.
Sandrine s’efface pour le laisser entrer et lui touche les fesses au passage. Elle ne sait pas d’où l’idée lui est venue, peut-être de la morphologie de son futur amant, petit, mince, mais avec un derrière musclé et proéminent. Lui se laisse faire et attend visiblement qu’on lui dise quoi faire.
— Assieds-toi sur le canapé, dit Sandrine qui comprend qu’il joue le jeu et qu’elle va devoir diriger toute la séance.
C’est un rôle qu’elle n’a jamais tenu. Avec Hervé, elle était parfaitement soumise à ses désirs et auparavant, avec les quelques hommes qu’elle a connus, elle était juste ignorante de ce qui pouvait se passer entre deux amants. Elle écartait les cuisses et tentait de simuler quand elle ne ressentait rien. Cela l’excite de prendre les commandes, mais elle n’est pas encore très sûre d’en être capable.
Elle s’approche du canapé, toujours debout, si haute sur ses talons pointus que son pubis est à la hauteur du visage d’Antoine Sorel.
— Alors ? Que penses-tu de ton investissement en lingerie ?
— Vous êtes sublime, Sandrine. Est-ce que… est-ce que je peux toucher ?
— Hmmm… oui, si tu es délicat.
Antoine Sorel remonte ses lunettes sur son nez ...
... avant de poser un index sur le cœur transparent de la culotte, sur le haut du sexe de Sandrine, le laissant ensuite descendre le long de la fente qu’il trouve humide. Sandrine le regarde faire, essayant de savoir ce qu’il vaut comme partenaire. Elle le trouve respectueux, peut-être timide comme il l’a écrit, différent de l’impression qu’elle a eue au restaurant.
— Tu peux m’enlever cette culotte si tu en as envie.
Il ne répond pas, mais s’attelle à la tâche, lentement, glissant ses mains à plat entre les fesses de Sandrine et la soie et faisant descendre ensuite le tissu jusqu’au milieu des cuisses. Ensuite, doucement, il avance son visage et pose ses lèvres sur le petit abricot juteux.
— Hmmm… Voilà un baiser que je n’avais pas autorisé.
— Pardon, dit-il sans lever les yeux.
— Recommence.
Il recommence et la douceur du baiser fait fondre Sandrine. C’est peut-être la première fois de sa vie qu’on l’embrasse aussi tendrement. Elle sent les mains chaudes de son amant posées sur ses fesses et son souffle tout contre son bas-ventre.
— C’est d’une douceur infinie, murmure-t-il comme pour lui-même et il recommence.
Le désir envahit Sandrine. La jeune femme a envie de plus, maintenant, de beaucoup plus que ces tendres baisers. Elle s’écarte et demande à Antoine de la suivre.
— Tu connais déjà cette chambre, dit-elle en y entrant. Je veux que tu me fasses jouir, monsieur Sorel, avec ta langue. Ne me déçois pas, je commence à t’apprécier.
Elle s’allonge sur son ...