1. Le cadeau


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fh, cadeau, inconnu, voisins, fépilée, revede, miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... Déplacez-vous donc jusqu’à la fenêtre de ce bureau en face de ma chambre. Ah, je vous vois. On ne profite pas des détails, dites donc. Je parie que vous aviez des jumelles pour m’espionner.
    — Oui, j’en ai. Mais…
    — Pas de « mais », monsieur Sorel. Pour vous faire pardonner les jumelles, montrez-moi votre bite.
    — Pardon ?
    — Votre bite, monsieur Sorel. Enlevez votre pantalon et montrez-moi avec quoi vous comptez me faire du bien.
    — Avec la lumière allumée, tout le monde pourra me voir…
    — Comme vous voulez, mais ce que je désire moi, c’est que vous enleviez votre slip. Pour me faire plaisir.
    
    Sandrine voit l’homme en face poser le téléphone à côté de lui et se débarrasser de son pantalon, puis de son caleçon. Il reprend ensuite le téléphone, mais sans parler.
    
    — Eh bien, dit Sandrine, elle est minuscule. Il me faudrait des jumelles.
    — Vous êtes cruelle, Sandrine.
    — Je suis une femme humiliée, transformée en putain par un pervers, monsieur Sorel, alors je me venge. C’est humain, la vengeance. Vous ne bandez pas ?
    — Appelez-moi Antoine, s’il vous plaît. Non, je ne bande pas. Ce ne sont pas des conditions optimums.
    — Si je vous montre mes seins, vous allez bander ? Vous feriez mieux parce qu’un amant incapable de bander, je vous avoue que ça ne m’intéresse pas.
    — Je ne sais pas. J’ai très envie de voir vos seins, mais je ne sais pas si…
    
    Sandrine pose le téléphone à son tour et enlève le vilain sweat qu’elle avait enfilé. Ses gros nichons élastiques s’agitent en ...
    ... tous sens avant de retomber mollement. Les tétons sont dressés et durs comme des pierres, mais il ne doit pas les voir, d’où il est. Par contre, elle voit qu’il a la main sur sa queue et qu’il se branle.
    
    — Alors ? dit-elle quand elle tient de nouveau son téléphone.
    — Vous êtes une femme magnifique, Sandrine.
    — Ça, vous me l’avez déjà écrit. Ce que je veux, c’est un mât dressé. Enlevez votre main que je me rende compte. Mouais, c’est un peu mieux. Si vous traversiez la rue, on obtiendrait peut-être un meilleur résultat. Qu’en pensez-vous ?
    — Je… Oui, bien sûr, j’arrive.
    — Attends, attends, mon bonhomme. On va d’abord fixer quelques règles. À partir du moment où tu passeras ma porte, je serai ta reine et tu ne devras pas l’oublier.
    — Promis.
    — C’est de mon plaisir qu’il est question et tu acceptes toutes mes demandes, même les plus farfelues. Interdiction de reparler de ton espionnage et du temps où j’étais une pauvre petite chose malheureuse. Lorsque tu m’auras fait assez de bien, je te renverrai aussitôt chez toi et je ne veux pas le moindre gémissement ou la plus petite récrimination. Tu n’oublies pas de te munir de préservatifs. OK ?
    — J’accepte tout, ma reine.
    
    Sandrine se précipite à la salle de bains, essaye de sauver ce qui est sauvable de son maquillage et de sa coiffure. Elle remet les sous-vêtements grenat et enfile le fameux chemisier sans le boutonner. Antoine Sorel a certainement traversé la rue en courant puisqu’il frappe à la porte alors qu’elle a à ...
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