1. Librairie Moby Dick


    Datte: 27/02/2025, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail collection, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... Homère dans leurs écrits d’antan, mais était incapable de traduire le grec dit moderne. Le latin comme le celte n’avaient aucun secret pour elle, et Pénélope savait qu’elle était l’une des rares personnes au monde, à pouvoir traduire des textes issus de la langue celtique. Ces Celtes, ayant eu la fâcheuse manie de privilégier l’oral à l’écrit, ces textes étaient autant rares que précieux. La jeune femme travailla donc son grec moderne dans les bras de Konstantinos.
    
    L’étudiant grec fut le premier amant de la jeune femme. Pénélope avait donc mimé les gestes et imité les petits cris, comme les petites phrases, distillées par les femmes, quand un homme les prenait. Une érudition glanée sur les quelques sites pour adultes, que la jeune Pénélope avait visités. Ceci fait par curiosité et par soif de culture. L’amour n’était donc pas vraiment folichon, et Konstantinos s’avérait être un véritable imbécile. Une semaine avait suffi pour que Pénélope gagne en expérience de la vie.
    
    Trois ans plus tard, son professeur de lettres et d’histoire préféré, Lambert Tricotin, se colla à Pénélope, et bafouilla qu’il avait très envie d’elle. Il éprouvait un désir brutal, au point d’en devenir fou. Pénélope l’obsédait et il en était totalement amoureux. La vie sexuelle de Pénélope s’était jusqu’ici résumée à des étreintes moites et maladroites avec un jeune imbécile grec. Pénélope, cette fois, apprécia les étreintes de ce professeur transi d’amour pour elle. Lambert était tendre dans les ...
    ... préliminaires, et juste assez viril pour la faire gémir pour la toute première fois. Un gémissement sincère, récidivé plusieurs fois, à leur deuxième rencontre. Plusieurs mois auparavant, Lambert avait découvert une petite prairie, où il était resté tout un après-midi, se goinfrant des illusions perdues de ce bon Honoré. Lambert et Balzac n’avaient pas été dérangés, et le professeur avait toujours retrouvé sa chère prairie, déserte. Il y passait deux fois par semaine, sans être dérangé par qui que soit.
    
    Nue sous une légère brise, et dans les bras de son amant, Pénélope cria en s’étonnant de le faire. Peut-être était-ce dû au fait d’être en extérieur ? Toujours est-il que la jeune femme s’était très vite sentie, plus excitée qu’à l’ordinaire. La peur d’être épiée ou pire, découverte par un quidam, devait aiguillonner sa libido. C’est tout au moins, la déduction que Pénélope en tira ensuite. Ce fut donc dans l’herbe grasse, que Pénélope se perdit enfin, en cris extatiques. Lambert, passionné par la dégustation du fruit de Pénélope, devenu juteux à souhait, osa traduire une envie subite en un acte audacieux. Il pinça fortement un téton brun et dressé, tout en enfonçant sa langue, dans le cœur du fruit gorgé de suc, qu’il dévorait. Pénélope, elle, se laissait manger en appréciant les sensations prodiguées par les bons soins de son amant. Elle s’étonna de cette brusque pointe de douleur agréable et souffla un « Plus fort ! » qui décupla l’ardeur, du professeur attentif qu’était ...
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