1. Une vie nouvelle


    Datte: 26/02/2025, Catégories: f, ff, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, nopéné, init, aventure, sf, initiat, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... belle…tu peux t’caresser aussi…
    — Non. Non je…
    — J’aimerais bien qu’tu poses ta main sur la mienne.
    — Lilas, c’est… Je ne suis pas lesbienne…
    — Conneries… J’ai couché qu’avec des hommes. C’est obligé d’changer d’partenaires chez nous. Mais avec toi, j’ai envie d’essayer et c’est pas pour ça que j’me sens gouine.
    — Je n'ai jamais touché personne alors…
    — Je sais, ma Lyrie. Tu veux pas que j’sois la première qu’tu touches ?
    
    Le souffle soudain accéléré de la blonde fit frissonner la tueuse. Un long frisson qu’elle n’avait pas pu contrôler.
    
    — T’aimerais vraiment ?
    — Oui, j’aimerais.
    
    Lyrie éprouva aussitôt une impression de chaleur intense qui l’enveloppa comme une douce capeline. Une étrange impression de bien-être qui étonna la jeune femme.
    
    — Tu pourrais glisser ta main sous la couette… Poser tes doigts sur les miens… T’es pas obligée d’me toucher ailleurs. Juste ma main…
    — Lilas…
    — Tu l’fais que si t’en as envie… Et si t’as envie d’m’embrasser… Tu te gênes pas surtout !
    — Oui. Ça, j’en ai envie…
    — Alors t’attends quoi, ma grande…
    
    Il lui était impossible de savoir combien de temps s’était écoulé. La tueuse avait doucement mordu les lèvres de Lilas, puis leurs langues s’étaient mêlées et avaient dansé des danses lentes et parfois presque violentes. Ses lèvres avaient aspiré la langue de sa compagne avec délice et la jolie blonde avait fait de même avec la sienne. Les deux femmes s’étaient embrassées de longs moments à en perdre le souffle. La blonde ...
    ... avait fini par haleter dans la bouche de la brune et cette dernière avait osé satisfaire la demande de sa compagne. La grande main de Lyrie avait épousé celle de Lilas. La Parisii avait senti les mouvements des petits doigts sous les siens. Quand Lilas avait râlé doucement dans sa bouche, elle avait compris que la femme atteignait le plaisir. Ce plaisir si souvent écrit et décrit comme l’une des merveilles du monde.
    
    — Laisse ta main sur moi, ma jolie tueuse…
    
    Sa compagne bougea lentement et la main de Lyrie se retrouva abandonnée sur le corps de cette femme encore inconnue il y avait si peu de temps. Elle sentit les poils de son pubis sous sa paume et une chaude humidité sous ses doigts. Quand son hôtesse se tourna vers elle et se pencha pour l’embrasser encore, la tueuse de loups colla sa main au sexe mouillé de sa compagne.
    
    — Je ne sais pas comment faire… Je… Techniquement je crois savoir… mais…
    — Personne ne m’a jamais embrassée comme tu l’as fait… T’en avais envie et t’as failli m’faire jouir rien qu’en m’embrassant. Alors… Si t’as envie d’me caresser… Ça risque d’être une sacrée caresse…
    
    Les lèvres soudées à celles de sa voisine, Lyrie contint une exclamation de surprise, comme un geste de retrait, quand les doigts de sa compagne fouillèrent doucement son pubis. Tout son corps était soudainement agité de légers tremblements qu’il lui était impossible de réfréner.
    
    — N’aie pas peur…
    — Je n’ai pas peur… C’est… Si, j’ai peur…
    — Détends-toi, tueuse de loups. ...
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