1. Une vie nouvelle


    Datte: 26/02/2025, Catégories: f, ff, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, nopéné, init, aventure, sf, initiat, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... J’arrête quand tu veux…
    
    La chasseresse se sentit rougir quand la bouche de la femme aspira son épais téton brun tendu et dur et lâcha un soupir quand elle sentit des doigts glisser sur sa fente.
    
    — T’es toute chaude, ma belle… J’peux entrer ?
    
    La brune tira doucement sur les cheveux blonds et colla ses lèvres à celles de Lilas. Puis, elle écarta légèrement les cuisses. Il lui sembla que les doigts de Lilas étaient des griffes brûlantes quand elle les sentit en elle. De douces griffes brûlantes.
    
    — Oh Lilas… C’est… c’est bon…
    — Oh oui, c'est bon. Tu vas m’faire jouir encore…
    
    La tueuse, emportée par les caresses de sa compagne en avait oublié ses propres doigts qui fouillaient doucement la grotte bouillonnante qu’ils exploraient.
    
    — Caresse-moi plus vite… plus fort…
    
    Au moment où elle accélérait la cadence de ses doigts dans le sexe qu’elle prenait, Lyrie poussa un long cri étouffé par les lèvres de celle qui lui faisait l’amour. Les doigts de la belle bergère s’étaient enfoncés dans son sexe et allaient et venaient en elle avec une nouvelle vigueur.
    
    Lyrie, essoufflée et proche d’étouffer sous de brutales émotions inconnues, ouvrit les yeux en poussant un gémissement rauque. Elle observa un instant les ombres de la nuit qui baignaient leurs deux corps dénudés. Des ombres qui parurent d’abord trembloter légèrement avant d’exploser en étincelles de couleurs éclatantes. Puis, les yeux clos, elle s’effondra sur le corps brûlant contre le sien et ses lèvres ...
    ... happèrent celles de la jolie blonde.
    
    — Oh… Lilas…
    
    La tueuse de loups jouit en se tordant doucement alors que Lilas gémissait longuement dans sa bouche.
    
    Il faisait toujours un temps agréable, même si Lyrie préférait une certaine fraîcheur. Elle était au village depuis un mois et si elle s’adaptait, il lui arrivait encore d’avoir du mal à supporter la présence des autres. Ils étaient si nombreux à vivre ensemble ! Et puis, il semblait à la tueuse de loups qu’elle attirait les gens comme le miel attirait les ours. Et, la plupart du temps, il lui était difficile de s’isoler.
    
    Lilas, seule ne dérangeait jamais la grande Parisii.
    
    — Tout va bien, la tueuse de loups ?
    — Oui Lilas… Mais s’il te plaît, cesse…
    — J’aime bien t’appeler ainsi… Tu fais avec, tueuse…
    
    La bergère avait gentiment souri et Lyrie soupira. Elle savait qu’elle pardonnerait n’importe quoi à cette femme adorable. Lilas avait été son amante, mais était avant tout son amie. Une amie ! Parfois, la Parisii n’arrivait pas à croire à ce qu’elle vivait.
    
    Lyrie n’aimait pas ce nom que tout le monde lui donnait maintenant. Elle avait raconté son histoire et Lilas la première l’avait appelée ainsi. Depuis, tout le monde l’affublait de ce surnom que Lyrie trouvait idiot. Qu’aurait-elle pu tuer d’autre que des loups à Paris ? Elle avait dit qu’elle avait également tué beaucoup de chiens, mais cette idée rebutait les habitants du lac. Lilas, douce et toujours agréable était la personne que Lyrie appréciait le ...
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