Prise au Dépourvu
Datte: 26/02/2025,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... ses jouets. Je voulais calmer la fièvre que j'ai ressentie en la tourmentant.
J'ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et mon short. J'ai réalisé à quel point j'étais trempée. Ma culotte en coton était pratiquement translucide. J'ai enlevé mon haut pour être aussi nue que Martine. Le contraste entre nos corps était évident, j'étais plus grande et plus mince, elle était plus petite et beaucoup plus pulpeuse. Je sentais ma culotte. Mon parfum était différent du sien, mais c'était aussi celui d'une femelle en chaleur. Je me suis demandée quelle serait sa réaction, alors j'ai posé ma culotte sous son menton. Instantanément, je l'ai vue inspirer profondément.
« Vous voyez, Martine, je ne sais pas laquelle de nous deux est la plus excitée. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai été aussi mouillée. Je me demande, si tu n'étais pas bâillonné par cet appareil, me laisserais-tu mettre ma petite culotte dégoulinante dans ta bouche, à sa place. Voudriez-vous cela? »
Elle n'a eut aucune hésitation cette fois, elle hocha rapidement la tête. J'ai installé ma culotte sur son nez en la coinçant des deux côtés dans les lanières de sa poire d'angoisse. Je l'ai entendue inhaler intensément mon arôme personnel. Pendant qu'elle se passionnait pour cela, je revenais vers le lit pour me préparer. Je ne sais pas si elle faisait encore attention à moi, alors qu'elle baignait dans ce tourbillon de phéromones. La chambre puait le sexe !
Je me tenais une fois de plus derrière ...
... elle. La tentation était grande de la laisser me voir. Mais j'ai adoré la surprendre. J'ai fait un pas en avant pour que le bout du gode-ceinture vienne heurter son cul. Elle se figea au contact. Elle ne savait pas ce que c'était exactement, mais elle devait savoir que cela ne faisait pas partie de mon corps. Le fait de pousser légèrement contre elle, faisait presser la base du gode contre moi. L'image mentale d'elle, équipée de cet instrument, et l'utilisant sur Philippe, a flashé dans mon esprit. J'ai été surprise de constaté à quel point cette image était salace, parce que je n'avais jamais pensé à Philippe de manière sexuelle auparavant. Il était plus âgé que Martine, et il était bedonnant. Si ce n'était pour s'en servir sur son mari, pourquoi posséderait-elle cet appareil?
Mes pensées impures se sont enfuies lorsque j'ai poussé le gode entre ses cuisses charnues. Je l'ai fait passer sous elle, en frottant le long de sa chatte. J'étais tellement contente d'être légèrement plus grande qu'elle. Cela a rendu l'opération facile, presque parfaite. Tandis que j'avançais lentement sous elle, je la sentis cambrer ses reins, pour tenter de m'accueillir en elle. J'ai entendu une douce musique à mes oreilles, elle geignait et gémissait dans son bâillon. J'adorais sa plainte, cela déclenchait une putain de lame de désir qui inondait ma chatte ! J'ai cru que j'allais presque jouir, juste à cause de cette plainte rauque.
Je pouvais entendre sa respiration s'accélérer, ma culotte ...