Prise au Dépourvu
Datte: 26/02/2025,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... jusqu'à présent, ce que je voyais là entrait dans cette catégorie. Mais il y avait quelque chose de vraiment fascinant dans le fait que Mme Mars se tenait là comme si elle était en attente de quelque chose. C'est alors que j'ai remarqué que ses chevilles étaient attachées à une barre qui maintenait ses jambes écartés. C'était tellement bizarre que je me sentais toute excitée. C'était une sensation familière que je ressentais avec Kevin, mon petit ami, quand il me caressait, juste avant que nous ayons des relations sexuelles.
J'avais cette envie de mettre ma main dans ma culotte pour me caresser. Ma main à plat sur mon ventre, mes doigts commençaient à ouvrir mon short, indépendamment de ma volonté. Mme Mars a peut-être entendu quelque chose parce qu'elle a bougé sa tête. C'est là que j'ai vu j'ai vu qu'elle était bâillonnée par une poire d'angoisse. C'était plus fort que moi, je suis entrée dans la chambre, en restant toujours hors de son champ de vision. En m'approchant d'elle, j'ai senti ma propre humidité poisser ma petite culotte.
Cela m'a rappelé cette fois où nous nous embrassions avec ma meilleure amie. C'était censé n'être que de la pratique, car à cet âge nous n'avions pas accès aux garçons, mais au moment où nous avions fini l'entraînement, nous étions tous les deux pantelantes, effrayées par nos sentiments. Nous n'avons jamais donné suite à cette complicité, mais j'en ai gardé un souvenir fort, pendant très longtemps. Je ne pouvais pas imaginer à quel point ...
... quelque chose d'interdit pouvait être aussi excitant.
Je lui ai parlé pour la première fois : « Mme Mars, je ne vous avais jamais vue aussi belle »
Elle a sursauté en entendant ma voix, puis elle a lutté avec ses menottes pour essayer de se libérer. Malgré sa tenue et sa position, j'ai tenu à utiliser une formule courtoise pour m'adresser à elle. D'abord parce que je l'avais toujours appelée ainsi. Et puis mon éducation ne me permettait pas d'être familière avec quelqu'un qui ne me l'avait pas demandé. Enfin, c'était ce que je ressentais en la voyant.
Je savais qu'elle était proche de la fin de la quarantaine, mais je dois dire que, vue de dos, elle était bien conservée. Ses fesses et ses cuisses ne trahissaient pas son âge, même si ses hanches s'étaient élargies après avoir eu trois enfants. Mais elle avait l'air sacrément bonne. Je n'ai rien dit d'autre, je suis restée là, à la regarder lutter pour se libérer. Quelque chose dans ses mouvements m'excitait, je me sentais puissante. C'était une situation vraiment enivrante. Moi, la fille qui passait son temps plongée dans la lecture, je goûtais ce sentiment de pouvoir presque écrasant. Je n'avais jamais rien ressenti de semblable.
Je n'avais pas besoin d'humilier Mme Mars, je ne ferais jamais ça. Mais l'idée d'avoir quelqu'un totalement à ma merci était irréelle. Je m'avançais tout près d'elle, par derrière, assez près pour ressentir la chaleur de son corps. Je ne l'ai pas touchée, mais je lui ai parlé doucement, en ...