Miss Cata – Avant - Histoires de Sexe

Miss Cata – Avant

... bavardons d’un peu de tout et de rien durant une bonne demi-heure. Même si je n’ai plus sous les yeux une certaine vision, j’ai droit à une autre située plus haut, une vision non négligeable. J’essaye d’éviter de trop regarder ce trop beau décolleté doublement triangulaire, ce qui n’est pas toujours évident. N’empêche que c’est bien la première fois que je me retrouve dans une telle situation. Il est vrai que c’est aussi la première fois que j’ai vraiment une fille en bikini sous les yeux de si près… Si j’excepte la piscine, mais ce n’est pas pareil.

Et puis… il s’agit de la dénommée Justine, un cas spécial et à part…

Alors que nous sommes en train de parler de son séjour au Royaume-Uni de l’année dernière, Justine change complètement de conversation :

— Euh… Boris, je peux m’offrir un petit caprice ?
— Annonce la couleur…
— Tu… tu pourrais me porter jusqu’à l’eau ? J’aimerais me baigner…
— Pas de problème !

Je m’attendais à pire comme requête. Je comprends qu’elle hésite à marcher jusqu’à l’eau avec une cheville endolorie. Quelques secondes plus tard, je me dirige vers la mer, avec Justine dans mes bras. Une fois que j’ai de l’eau au niveau du diaphragme, je libère ma captive qui se laisse aussitôt flotter :

— Merci, Boris ! T’es un amour quand tu veux !
— Seulement quand je veux !

Elle se met à rire :

— On ne te changera plus, à ton âge !

Puis elle s’amuse à nouveau dans l’eau, évitant de trop se mettre debout dans la mer. Elle fait souvent la ...

... planche, ce qui me permet d’admirer de profil ses paysages. Je constate que les deux triangles du haut ont tendance à remonter un peu, ce qui libère mieux encore ses deux courbes du bas. C’est cocasse à quel point je fais attention à ce genre de détail… Je ne me savais pas ainsi.

Puis nous sommes revenus vers nos serviettes, Justine à nouveau dans mes bras. C’est moi qui le lui ai proposé. Le contact de la peau mouillé fait plus d’effet que quand elle est sèche ! Comme tout à l’heure, je la dépose délicatement au sol. Elle s’en amuse :

— Tu sais, Boris, j’suis pas en cristal !
— On ne sait jamais ! Vaut mieux en faire trop que pas assez !

Elle s’allonge sur le dos pour sécher au soleil. Pour ma part, je m’empare d’une serviette éponge pour faire la même chose. Elle maugrée :

— Halala, ces foutues ficelles ! Elles me scient le cou !

Je crois comprendre qu’elle défait les nœuds, tout en restant si possible allongée. Ses deux triangles du haut reposent à présent par gravité sur ses seins. Encore heureux pour elle qu’il n’y ait pas de saute de vent aujourd’hui ! Est-ce que Justine pense à certaines conséquences ?

En tout cas, elle pense à me redemander quelque chose :

— Euh, Boris… je peux m’offrir un nouveau caprice ?
— Tu veux retourner dans l’eau ?
— Non, non, pas ça. Regarde dans mon sac, tu y trouveras mon porte-monnaie. Tu peux nous acheter une glace à l’italienne chacun ?
— Je peux te l’offrir, Justine…
— Taratata ! T’as déjà bien fait ta part en ...