Quatre (2)
Datte: 22/02/2025,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
mast,
Auteur: centaurspath, Source: Revebebe
... amusé.
Afin de nous encourager, nous faisons l’un et l’autre de légers mouvements sur nos sexes. Geste dont je n’ai jamais compris l’utilité mais qui est généralement le préliminaire pour ce genre d’affaires.
Nos queues, bien larges, au vent finissent par expulser leur jet d’urine que les deux filles continuent de regarder, un sourire en coin.
Nous surjouons notre rôle des petits mâles fiers de leurs queues en faisant des ronds avec nos jets. C’est stupide. C’est drôle… enfantin.
Avant que nous ne remballions nos attirails, les filles s’amusent à nous regarder en se chuchotant de faux commentaires à l’oreille. Je suis content qu’elles nous voient là, en plein milieu de la nature, comme aux premiers jours du monde. Je pense à la bite de Thomas. Je pense à la chatte d’Alice.
Nous passons l’après-midi à nous chauffer ainsi, par petites allusions, par petits jeux complices.
C’est amusant et très excitant.
Les filles passent beaucoup de temps à parler entre elles et je passe du temps avec Thomas, mon ami, mon frère. Nos corps sont fatigués par la marche, nos esprits sont libres. La moindre tension dans nos muscles est un rappel de notre matérialité, de la présence de nos corps.
Nous rentrons. La soirée est beaucoup plus calme que celle de la veille. Je sens qu’Alice et Thomas ont hâte d’aller se coucher, ce que nous ne tardons pas à faire, tous.
Exténué par la marche de la journée, je m’endors comme une masse.
Au beau milieu de la nuit, je suis ...
... réveillé par des petits bruits dans la chambre voisine. Pas de doute : ils sont en train de faire l’amour.
J’entends les grincements du matelas, le souffle des amants, je devine les gestes retenus, les deux corps enlacés. J’imagine Thomas enfoncé jusqu’à la garde dans le fourreau d’Alice, faisant de petits mouvements, espérant la discrétion… Comment espérer être discret quand les fenêtres sont ouvertes ?
Alice gémit doucement. Visiblement, Thomas lui donne du plaisir.
Je bande immédiatement, bien qu’encore entre deux eaux.
Il fait une belle chaleur, aussi nous n’avons mis qu’un drap sur nous. Je suis sur le dos et ma queue fait une belle bosse. La lumière de la lune joue avec mon relief.
Tout en les écoutant, ma main commence naturellement un mouvement de va-et-vient sur ma tige. Je suis bandé comme un âne, c’est agréablement douloureux. Je ne comprends pas pourquoi je suis aussi excité par leurs ébats. J’imagine que toute cette journée à se chauffer les uns les autres m’a mis dans cet état d’excitation. En me touchant, j’imagine le bourgeon d’Alice qui glisse sur le pubis de Thomas. Je l’imagine découvert, triomphant de la touffe de poils blonds de sa chatte.
Je ne suis pas le seul à avoir été réveillé. Claire à côté de moi a commencé à se toucher elle aussi. C’est sans vergogne qu’elle écarte ses cuisses pour prendre son sexe à pleine main.
Elle caresse d’abord l’intérieur de ses cuisses, puis passe sur son mont de Vénus. Elle appuie sur son bas ventre et ...