1. Quatre (2)


    Datte: 22/02/2025, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, mast, Auteur: centaurspath, Source: Revebebe

    ... Cette chatte est délicieuse à voir. Je contemple le soleil et le vent jouer avec ses poils qui laissent sans difficulté transparaître ses grandes lèvres. Chaque infime mouvement de ses jambes les fait glisser. Ce petit jeu n’a pas échappé à Claire et Thomas, qui s’amusent à nous regarder, tout en continuant de parler.
    
    Le pantalon en toile de Thomas laisse clairement transparaître son érection, alors que je devine de petits mouvements de bassins de Claire, signe de son excitation. Chaque passage du vent sur mes jambes m’électrise plus que de raison. J’ai des papillons dans le ventre, comme un ado.
    
    Mais nous en restons là, tant est délicieuse cette tension des désirs.
    
    Lorsqu’il se lève, Thomas passe à côté de moi qui suis assis, son sexe dressé dans son pantalon, sans la moindre gêne. Il me donne une légère tape sur mon épaule nue, signe qu’il n’est pas dupe de mon manège mais qu’il ne s’en offusque pas.
    
    En me levant, je sens que j’ai coulé le long de ma cuisse.
    
    Nous décidons de partir nous balader dans la montagne environnante.
    
    Je suis enivré de la chatte d’Alice et je ne pense à rien d’autre : à son sexe, à son cul. Je pense à sa rosette dans laquelle, hier, Claire s’est aventurée. Tout cela est délicieux, cotonneux et entêtant. Chaque mouvement de mon bas ventre est une douce torture. Mon sexe attend d’être soulagé.
    
    Après quelques minutes de marche, Thomas et moi devons nous arrêter pour une« pause technique ». Comme tout garçon qui se respecte, ...
    ... nous nous écartons un peu, face à la montagne et décidons de pisser là, face au vide. Un truc de garçon, un jeu stupide, qui nous amuse.
    
    En temps normal, je n’aurais rien regardé d’autre que le paysage environnant, mais là je ne peux m’empêcher de regarder la bite de Thomas sortir de son pantalon. Je la vois aussi proche qu’hier, si ce n’est un peu plus. Elle semble lourde et épaisse, très douce. Son prépuce la recouvre encore. Quelques veines se dessinent sur le dessus. Il tire légèrement sur la peau pour dégager le gland, par un léger mouvement de va-et-vient qui semble le faire grossir encore un peu plus. C’est un sexe magnifique.
    
    Il remarque que je me suis arrêté.
    
    — Alors, qu’est-ce que tu attends ? On ne va pas y passer la journée !
    
    Gêné, je sors mon sexe de mon pantalon… enfin, j’essaye, car je suis affublé d’une belle demi-molle. Je la tiens à pleine main en espérant que Thomas ne le remarquera pas trop. La couronne de mon gland – je suis circoncis – est très écartée et la peau de ce dernier est déjà un peu tendue. Le souffle de l’air dessus est un délice.
    
    Dans cet état, je sens qu’il ne va pas être facile de pisser. Thomas, lui, n’a pas encore commencé.
    
    Sans que je les remarque, les filles se sont mises à notre hauteur et miment notre tentative de miction au grand air, à grand renfort de voix rauques et d’airs de camionneurs.
    
    Je sens leurs regards sur nos queues. Elles se sont arrêtées et regardent désormais nos deux débuts d’érection avec un air ...
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