1. L'initiation de Serge par l'abbé Faujas


    Datte: 20/02/2025, Catégories: hh, religion, intermast, Oral init, gay Auteur: Gaston75011, Source: Revebebe

    ... allait mieux, son père monta le voir.
    
    Rose, la cuisinière, le mit à la porte. On n’avait pas besoin de lui. Le jeune homme était encore trop fragile. Alors le père descendit et resta tout seul au rez-de-chaussée, désœuvré. Mais depuis le vestibule, il entendait très bien la voix de l’abbé Faujas qui passait des après-midi entiers au chevet de Serge convalescent.
    
    Le père de Serge remarqua bien que le prêtre ne quittait plus guère la chambre de Serge, étant monté à plusieurs reprises, pendant que les femmes n’étaient pas à la maison.Que font-ils donc ? pensait-il. Serge l’inquiétait. Il ressemblait à une fille dans ses draps blancs. Ses yeux fiévreux s’étaient agrandis. Son père n’osait plus lui parler de Paris, tant le cher enfant paraissait féminisé et fragile.
    
    Ce fut Rose qui découvrit l’épouvantable secret si bien caché. En apportant comme à l’accoutumée, sans frapper à la porte, le bouillon du cher ange, elle fut étonnée d’apercevoir l’abbé Faujas allongé tout du long de dos, à côté de Serge, dans le lit défait. Elle en fit tomber le plateau et étouffa un cri. Le cher ange était totalement nu et son maître n’était guère plus habillé, si ce n’est qu’il avait gardé sa chemise.
    
    — Rose, je t’en supplie : ne dis rien à mes parents ! Christian et moi, nous nous aimons d’un amour véritable !
    — Mais c’est impossible ! Vous êtes deux hommes, c’est un péché contre nature. Monsieur l’abbé, comment osez-vous ? Vous vous damnez pour l’éternité et vous entraînez le petit ...
    ... ange dans votre débauche…
    — Non, ma fille, car notre amour est vrai. Nous avons lutté, mais les tourments de la chair ont été les plus forts et nous n’avons pas pu résister au plaisir de la fornication, et à l’attrait de Sodome !
    
    (…)
    
    Hélas ! Tous ces après-midi prétendument studieux n’avaient été consacrés que presque exclusivement à l’initiation de Serge - dont l’attirance pour les hommes ne fut pas vraiment une découverte.
    
    L’abbé eut vite fait de comprendre la fascination qu’il exerçait sur Serge. Les frôlements des mains, les propos de plus en plus équivoques concernant l’éducation des jeunes Grecs dans l’Antiquité, favorisèrent le rapprochement des corps. Leur voix plus assourdie et les silences les révélaient l’un à l’autre. Leur haleine mélangée, et chaque visage si proche de celui de l’autre rendirent leur premier baiser presque chaste. C’est Serge qui prit l’initiative de ce baiser désiré et consenti, de cet appel muet.
    
    L’après-midi de l’orage, tous les deux trempés rentrèrent précipitamment dans la grande maison vide et montèrent de sécher dans la chambre de Serge. Ils enlevèrent leurs vêtements dégoulinants et presque nus l’un en face de l’autre, se frottèrent énergiquement avec une grande serviette de bain.
    
    L’abbé observe Serge dans sa quasi-nudité et fixe sans pudeur la bosse qui grossit et tend le caleçon de Serge. Celui-ci devance l’envie du prêtre et retire lentement ce dernier tissu qui tombe à ses pieds, libérant par la même une superbe verge ...