1. COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. La noyée du lac (1/1)


    Datte: 17/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... depuis deux ou trois jours.
    
    Ça nous fera gagner du temps dans notre enquête.
    
    Je pars en vacances à la fin de cette semaine et je veux que le mystère de la femme nue du lac soit solutionné.
    
    En vacances, je pars en vacances, moi, oui bien sûr en vacances éternelles.
    
    • Attends Jean, le commissariat me rappelle.
    
    Oui, Odile Duval, trente-deux ans, mariés à Jean Duval sans enfant.
    
    Merci, allez chercher ce Jean et amenez-le au poste et commencé à l’interroger.
    
    Il se peut qu’ils jouent à des jeux ayant mal tourné, avec la ceinture et paniqué il l’a jeté dans le lac avant de signaler sa disparition !
    
    Vous voyez, j’avais raison pour l’âge, ce dois bien être moi qu’ils ont retrouvé flottant sur le lac.
    
    Par compte, mon mari, ce pauvre chéri, mon maître, ils rigolent !
    
    J’ai essayé de l’entraîner dans mes jeux sadomasos après avoir découvert que j’étais masochiste, mais la vue, d’un escargot mort le faisais fondre en larmes alors j’ai dû me débrouiller.
    
    Voilà comment j’ai découvert et comment j’ai réussi à satisfaire mes besoins de sexe hard.
    
    Certes, mon maître a transformé mon corps par ces piercings et surtout ces brûlures, mais lorsque je revenais de chez lui à moitié morte par ce qu’il m’avait fait subir, Jean me soignait sans me poser de question.
    
    Il me sentait heureuse et ça lui suffisait.
    
    Alors qui m’a tué, mais a-t-on vraiment essayé de me faire passer de vie à trépas ?
    
    • Regarde ses seins, brûlures et petits trous, on devait ...
    ... lui percer les seins avec des aiguilles.
    
    J’ai déjà vu ça une fois, regarde la couronne que ces trous font, celui qui lui a infligé ça, lui plaçait des aiguilles de seringues côte à côte.
    
    La femme que j’ai autopsiée les avait encore, des aiguilles d’un centimètre.
    
    Petite joueuse, moi je supporte des aiguilles de trois centimètres.
    
    Trente dans chaque sein, j’aurais voulu que mon maître me fasse cela plus souvent, mais vu les risques d’infection, j’y avais droit une fois par mois.
    
    • Regarde encore des traces de cire rouge de ce côté-là de son corps, c’est con, elle était bandante.
    
    La cire, bien sûr, mon maître s’en servait avec un appareil qu’il avait mis au point.
    
    J’étais saucissonné par des liens me prenant les seins, lorsque je baissais les yeux, ils étaient rougeâtres par le manque de circulation du sang.
    
    La corde me prenait les jambes et il me suspendait avec au-dessus de moi des bougies allumées qui se déversaient là où les cordes me faisaient tourner.
    
    J’adorais lorsque la cire me coulait sur la chatte, ça me brûlait, mais j’en redemandais, surtout que lorsque j’étais suspendu dans l’impossibilité de me défendre, je cachais des choses à mon mari au retour.
    
    Je recevais de la cire, mais j’étais à bonne hauteur pour qu’il me mette son sexe dans le vagin.
    
    Avec ses cordes et ses poulies, il me plaçait au-dessous des bougies laissant couler leur cire et c’est même lui le premier qui m’a enculé.
    
    Le premier et le dernier à la vue de ma ...