1. Le pacte


    Datte: 17/02/2025, Catégories: f, h, fh, extracon, voisins, campagne, cérébral, revede, Masturbation caresses, pénétratio, québec, extraconj, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... tourner sous ma langue.
    — Même ce matin, tu t’es assuré que j’allais me réveiller tout en douceur, répliqua-t-elle en augmentant la cadence de la pénétration.
    — Je dois avouer que ce n’était pas du tout prémédité, ce réveil onanique. Je crois que je rêvais lorsque j’ai commencé, répliquai-je entre deux coups de langue sur son sein.
    — Tu vois, même pendant ton sommeil, tu as pris soin de moi, me dit-elle d’une voix saccadée.
    — J’étais heureux que le rêve ne s’arrête pas à mon réveil, gémis-je en poussant plus fort mon sexe en elle.
    — Et tu vois ? Tu vas encore me faire jouir, espèce de beau Monsieur.
    — C’est toi qui vas me faire jouir, belle Dame.
    
    Sophie se colla à moi, m’écrasant le visage contre sa poitrine et serrant les cuisses jusqu’à m’en broyer les os coxaux. Sa voix cristalline résonnait en soupirs gutturaux dans mon oreille. Je m’arquai à mon tour, serrant très fort Sophie sur moi, soupirant longuement au rythme des secousses de plaisir qui me parcoururent. Tout enfoui en elle, la soudaine contraction de mon sexe la fit se crisper davantage, lui arrachant un nouveau cri jouissif. Nos spasmes incontrôlés et contagieux nous cahotèrent pendant un temps qui me sembla une éternité. Nos orgasmes duraient et duraient, et nos corps cherchaient à se fondre l’un dans l’autre.
    
    Quand la tempête se calma, elle resta ainsi immobile un bon moment, me couvrant le haut du corps du sien, conservant ses jambes bien fermées sur moi. Je me délectais de toute la souplesse de ...
    ... sa peau, de la texture de ses cuisses, de ses cheveux qui envahissaient mon visage, et de son sexe qui tenait encore fermement le mien. Quand elle bougea à nouveau, ce fut pour m’embrasser le cou et me susurrer à nouveau :
    
    — Merci, encore.
    
    Puis, elle s’extirpa du lit et fila aux toilettes, me laissant seul, dénudé, et temporairement repu.
    
    * * *
    
    Le brouillard orgasmique me berça encore quelque temps, avant que mon esprit ne me ramène à la réalité de la situation : j’avais fait l’amour avec Sophie toute la soirée, une bonne partie de la nuit et même ce matin, et toute ma famille allait arriver d’ici quelques heures pour la fin de semaine. Peu importe le plaisir qui nous avait portés jusqu’à maintenant, il était essentiel que nous protégions nos arrières. Je devais avant tout m’assurer qu’aucune trace de nos ébats n’allait subsister.
    
    Je me levai d’un trait, sortis de la chambre et allai m’assurer que nos vêtements avaient pu sécher pendant la nuit. Les deux pièces de Sophie, magnifiques dans leur simplicité, trônaient au-dessus de la cheminée. Sèches, je n’imaginais pas un tissu aussi léger prendre plus d’une nuit à sécher, mais aussi propres, sans tache de boue ou de gazon. Mes vêtements, fabriqués d’un tissu un peu plus épais, étaient encore humides, mais propres eux aussi. Je décrochai et pliai les vêtements de Sophie, et décidai de laisser sécher les miens. La tenue d’Adam allait être celle de la matinée en ce qui me concernait.
    
    Un rapide coup d’œil à mon ...
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