Première journée chez Paula - Histoires de Sexe

Première journée chez Paula

... puisque j’aimais les corps sans poils des femmes. Lorsque nous avons pu observer Denis de face, il était encore plus impressionnant avec son sexe complètement gonflé. Le membre était superbe, surmonté d’un gland turgescent complètement découvert et d’un diamètre respectable. La main de Chiara le saisit et en faisait à peine le tour. Paula se rapprocha de moi.

— C’est magnifique !
— Ton éditeur ?
— Non, sa bite.

Je sentais qu’elle avait utilisé le mot intentionnellement pour marquer charnellement le sexe de Denis. Je me lançai.

— Tu l’as essayé ?
— Tu en doutes ?
— Franchement, je ne sais pas, mais je dirais que oui.
— Tu n’as pas idée de ce qui se passe dans le bureau d’un éditeur.

Elle m’expliqua alors qu’elle n’avait eu des rapports avec Denis qu’après la parution de son troisième roman. Elle voulait être certaine d’être publiée pour ses qualités d’auteur et pas pour son cul. Elle me décrivit le bureau de Denis dans un vieil immeuble proche du marché Saint-Germain. Il n’y avait pas de canapé, mais des fauteuils profonds qui devaient en avoir vu… Elle insista beaucoup sur le fait qu’elle n’avait pas cédé, mais qu’elle était en phase avec les avances de Denis.

Je ne sus pas les détails de la suite, car les choses progressaient dans la piscine. La main de Chiara allait de plus en plus vite et celle de Denis s’agitait tout autant sur sa chatte. Les deux corps se rapprochaient et Chiara ouvrit ses cuisses et nous vîmes distinctement le membre être ...

... littéralement englouti par le vagin de Chiara. N’ayant pas pied, la pénétration n’était pas évidente, mais la situation se stabilisa, car ils durent s’accrocher au bord. Chiara s’agitait de plus en plus et se tétanisa en s’accolant contre Denis. Ils restèrent unis quelques minutes et, en se séparant, des volutes blanchâtres de sperme s’échappèrent du vagin de Chiara. Paula et moi étions muettes, nos mains s’étaient égarées sur nos sexes comme si nous voulions participer à leur plaisir. Paula referma le rideau, le spectacle était terminé et ralluma la lumière.

— Tu veux bien m’aider à remettre les anneaux ?
— Tu dors avec ?
— Oui.

Je devais saisir le mamelon et le tirer pour que l’anneau coulisse plus facilement dans le trou. En prenant le téton, je trouvai très troublante la perception de cet orifice entre mes doigts. Elle glissa le premier anneau sans difficulté. Avant de mettre le second, elle dit :

— Tu veux le sucer ? Tu verras, c’est un peu étrange comme sensation.

Je saisis le bout du sein entre mes lèvres et je passai la langue dessus, le mamelon était gros, mais surtout long. Je le taquinai de la pointe de la langue. Je sentais bien la petite dépression du trou. Elle me repoussa doucement :

— On fera mieux demain.

Dès que j’eus rejoint ma chambre, j’appelais Élodie. Elle répondit immédiatement. Je lui racontai ma soirée sans censure. Elle passa en visio pour me montrer comme elle se caressait. J’en fis autant. Nous avons joui presque ensemble. La masturbation ...