De l'art de la punition
Datte: 15/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Cedric Sadel, Source: Hds
... celle-ci était déjà humide, mouillant abondamment le gant lorsque Monsieur s’y attarda. Le début d’un spasme indiqua l’arrivée d’un orgasme...
« Non ! » Mina se contracta, la douleur dans ses reins, si forte, la fit mordre plus fort le bâillon. La main s’attardait trop sur le sexe de la soumise… Elle restait trop longtemps pour pouvoir se retenir… Mina ne put le faire. Ses hanches se contractèrent et un long cri fusa dans la chambre. Un liquide chaud coula en abondance sur ses cuisses. L’orgasme était puissant, tant que Mina s’affaissa.
Le maître sourit. Le motif de la punition était là. Le stratagème, quoique simple était perfide. Il savait que sa soumise ne pourrait se retenir en sentant les doigts sur son sexe. Le désir pour son maître était si fort que ce simple geste serait un déclencheur d’une efficacité diabolique.
Maintenant elle gémissait, couchée sur le lit. Des pardons murmurés s’échappaient de sa bouche, presque inaudible comme si elle ne désirait pas que son maître excuse cette jouissance interdite.
« Je vais devoir te punir ... » La voix était douce et maîtrisée . Le maître savait que sa soumise accepterait la punition, d’autant plus qu’elle était méritée. De sa part, ne pouvoir répondre à un ordre direct était grave. Elle sentait de tout son être qu’il n’y aurait pas d’échappatoire.
Monsieur pris le bâillon, le replaça dans la bouche de la soumise puis ordonna : « Remets-toi en position ! ».
Mina se redressa, ferma les yeux et attendit. Les ...
... claquettes glissaient sur la peau de ses fesses. Elle sentait le cuir la caresser, des soubresauts dans ses reins annonçait qu’un nouvel orgasme était proche.
« Cette fois-ci, sans bruit ! Ne lâche pas le bâillon ! Et compte ! »Lorsque la cravache ne fut plus en contact avec sa peau, la soumise se prépara. Le sifflement de la cravache dans l’air l’alerta. Le coup fut fort, le claquement sec et la réaction immédiate: un nouvel orgasme, silencieux celui-ci. Mais les cuisses étaient de plus en plus humides . La marque laissée par les claquettes attestait de la puissance du coup. Le « Un » étouffé arriva quelques secondes plus tard.
« Ma douce, tu dois compter lorsque la cravache frappe. Pas après. Je vais donc recommencer » Les claquettes caressaient la fesse meurtrie. Puis le contact disparu … « Deux ... » « Trois ... » « Quatre ... » Et chaque fois, l’écoulement sur les cuisses. Une tâche maculait le lit au niveau des genoux de Mina.
Les fesses étaient marquées de plaques rouges et chaudes. Mina sentait la douleur qui diffusait autour de l’impact des claquettes. Elle l’acceptait car son maître la punissait et que cette punition était une sensation délicieusement douloureuse.
La cravache s’abattit encore une fois, une dernière, moins forte mais la chair était meurtrie et Mina gémit longuement.
« Tu peux lâcher le bâillon . C’est fini. » Le bâillon tomba sur le lit.
« Merci Monsieur. Merci Monsieur. Merci Monsieur... » Cinq fois, une pour chaque coup.
Le ...