De l'art de la punition
Datte: 15/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Cedric Sadel, Source: Hds
Mina était aux pieds de son maître, seulement vêtue d’un ensemble de sous-vêtements rouges. Le collier en cuir, rouge lui aussi, était à son cou ; la laisse posée sur les cuisses de Monsieur, juste à côté de la tête de Mina. Elle pouvait sentir l’odeur du cuir neuf, enivrant ses sens.
Monsieur ne la regardait pas. Il tenait dans ses mains un livre, absorbé dans sa lecture. Une caresse , de temps en temps , rappelait à la jeune chienne que son maître la savait là, à sa place. Elle respirait doucement, calme, sentant l’odeur du cuir, sentant aussi l’odeur de son maître. Elle était apaisée, consciente de l’honneur de pouvoir se reposer si proche de lui. Un gémissement inconscient brisait de temps en temps le silence qui s’était installé dans la petite chambre d’hôtel. A chaque gémissement, Monsieur passait la main dans les cheveux de la soumise, une fois seulement avant de reprendre sa lecture.
Puis Monsieur bougea doucement les jambes. Mina releva la tête, attentive. Elle sentait que son maître allait la solliciter.
« Cravache ! » ordonna t’il.
Mina tourna la tête vers le lit. Sur celui-ci reposait l’objet. Mina avait remarqué la baguette d’une longueur de 70 cm environ et se terminant par deux claquettes de cuir assez larges dès que son maître l’avait posée sur le lit. Elle se demandait si celui-ci allait s’en servir ou si Monsieur l’avait apporté uniquement pour tester sa patience. Elle attendait avec émoi le jour où son maître la marquerait.
Elle regarda ...
... Monsieur, les yeux pleins d’espoir.
« Apporte ! » Elle se dirigea à quatre pattes vers le lit, tel un animal obéissant, pris délicatement la tige entre ses dents et revint à sa place. Monsieur regardait sa soumise venir vers lui. Il admirait ses hanches pleines, ses seins emprisonnés dans le soutien gorge et surtout ses fesses opulentes que le tissu en dentelle rouge mettait encore plus en valeur. Quel honneur que de posséder une chienne aussi désirable et obéissante. Elle attendait depuis si longtemps que son maître use de sa cravache sur elle, qu’il marque sa chair comme elle le méritait.Mais jamais , elle n’avait demandé , jamais elle n’avait provoqué pour subir une punition qu’elle espérait de toute son âme.
Le maître pris la cravache que la soumise lui avait apportée. Il caressa délicatement le cuir des tapettes. Après avoir posé l’objet sur ses cuisses, il se retourna et attrapa un bâillon en cuir dur qu’il tendit vers Mina. Elle ouvrit la bouche et le pris entre ses dents.
« Sur le lit ! » La laisse en main, Monsieur dirigea Mina à nouveau vers le lit. Elle grimpa sur celui-ci et se mis en position , à quatre pattes, le bâillon en bouche, la tête baissée.
Monsieur enfila alors ses gants de cuir, passa une main sur le visage de sa soumise, puis dans ses cheveux, glissa sur son dos et s’attarda sur sa croupe. Les tremblements de Mina traduisaient son trouble. Avec une grande douceur, le maître fit descendre le tissu sur les cuisses de la soumise. Le sexe de ...