1. Jeux de mains


    Datte: 12/02/2025, Catégories: fff, fplusag, jeunes, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme caresses, nopéné, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... seins nus par l’interstice trop largement dégagé. Marion, tu peux peut-être aller avec à cette dame.
    — Par ici, Mademoiselle, enchaîne la vendeuse en désignant d’autorité la cabine opposée.
    
    Ayant ainsi annihilé toute velléité de refus, elle m’adresse un sourire satisfait en réajustant le rideau sur une cliente en culotte et l’autre en sous-vêtements, lesquelles s’emploient aussitôt à jouer les transformistes. Dans l’empressement joyeux qui nous pousse à permuter soutiens-gorge et culottes, pour trouver le modèle idéal ou les tons les plus harmonieux, je reste attentive aux discussions qui nous parviennent de l’autre scène d’essayage.
    
    Il apparaît que la vendeuse prend à cœur son rôle de conseillère sans se formaliser des atermoiements de sa jeune pratique qui multiplie les allers-retours d’un ensemble à l’autre et finit par regretter amèrement que la présence de son propre slip l’empêche de se faire une idée exacte d’un nouveau.
    
    — Mais vous pouvez le retirer si vous le souhaitez, Mademoiselle, lui est-il proposé. Vous avez un distributeur de culottes en papier pour essayer à votre aise. Je vous laisse, le temps que vous en passiez une…
    — Oh, ce n’est pas nécessaire, Madame, ose répondre bravement Marion.
    
    J’échange un regard étonné avec Babette, mais un petit rire retenu nous indique que ma plus jeune filleule se complaît dans l’impudeur. Un discret compliment sur ses fesses nous le confirme. Après tout, elle n’a pas tort. Si une telle facilité est offerte par ...
    ... la boutique, il serait bête de s’en priver. Ni une, ni deux, je me débarrasse de ma culotte en réclamant le même privilège.
    
    — Pardon, Mademoiselle, seriez-vous assez aimable pour nous donner deux de ces slips jetables ?
    — Tout de suite, Madame, entends-je aussitôt.
    
    L’obligeante commise écarte notre rideau pour me tendre les objets demandés et accorder un sourire bienveillant à la silhouette à moitié dénudée de Babette, tandis qu’un regard indulgent enveloppe ma nudité. Dans la cabine d’en face qu’elle a négligé de clore, j’aperçois une Marion ravie d’enfiler, pour la énième fois sans doute, un brésilien à fleurs rouge et jaune. Elle avoue son indécision entre celui-ci et l’autre, à fleurs jaune et rouge, ou alors, peut-être, celui-là, si mignon, avec ses roses. C’est dire si le choix est crucial !
    
    — Prenez votre temps, concède la vendeuse en réprimant un soupir, il n’y a pas foule cet après-midi. Si vous souhaitez en discuter toutes les trois, je peux rester entre vos deux cabines.
    — Merci de votre compréhension, compatis-je. Nous serions en effet plus tranquilles.
    — À votre service, Mesdames… Évitez tout de même de passer de l’une à l’autre sans rien sur vous, ajoute-t-elle en riant.
    
    Je la rassure sur le même ton pour être simultanément démentie par Marion qui déchire le frêle chiffon de papier dans sa hâte à changer de motif floral. Quelques moqueries amicales et plusieurs réessayages plus tard, le modèle aux roses dont les boutons ornent judicieusement trois ...
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