La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1578)
Datte: 11/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... bondissant dès lors que je m’enfonçais en lui, de deux phalanges. Je ne ressentais aucune résistance, cet orifice s’ouvrait et accueillait mon doigt sans la moindre difficulté.
- Qu’est-ce que tu me fais mal, Alex !, me disait Antoine, qui cette fois-ci, me regardait.
Je retirais mon doigt aussitôt.
- Ce n’est pas à mon petit trou que j’ai mal Alex, mais au bout de ma nouille encagée ! Regarde ce que tu me fais…
D’ailleurs, c’est le Maître qui nous a exigé de dénommer notre sexe avec l’appellation ‘nouille’ ! Antoine se retournait et me présentait donc sa nouille tuméfiée, hypertrophiée, coincée contre les parois de la cage de chasteté. En fait, il était dans le même état que moi… Nos queues cherchaient vainement à s’épanouir mais avec un tel dispositif, c’était tout simplement impossible ! La douleur de nos nouilles comprimée et le plaisir mental de l’excitation réciproque…, bref le plaisir dans la douleur ! Affres nous rappelant que nous n’étions plus libres, tribulations nous ramenant à notre condition d’esclaves sexuels, un choix de vie s’imposant à nous, parce que c’est notre propre Nature servile, parce que nous étions faits ainsi, parce qu’heureux, épanouis et rayonnant près de Celui nous Dominant !... Antoine s’était redressé et soudainement me présentait son corps nu d’une façon à laquelle je ne pouvais résister. Il s’installait à califourchon sur moi en me tournant le dos, exposant ce dernier aux rayons filtrés du soleil, dos zébré par ces ombres ...
... produites par les lames inclinées du volet. Mon futur mari s’asseyait presque sur mon visage, frottant alternativement ses couilles et ses fesses tant sur ma bouche que sur mon nez. Mon désir se réveillait aussitôt de sorte que ma langue allait rejoindre l’intimité de mon amant. Il m’enserrait fermement, ses mollets sous mes bras, ses cuisses dessus, ses jambes formant ainsi un étau m’empêchant de bouger, il continuait à se frotter contre mon nez et ma bouche, faisant des mouvements de hanches d’avant en arrière, pour que ma langue glisse dans cette raie soyeuse au goût délicat. Parfois, il stoppait tout mouvement du bassin, posait plus fermement ses fesses contre ma bouche, pour que mon appendice buccal puisse s’insérer dans son anus brûlant.
- Oh que c’est bon, Alex, tu n’imagines pas le plaisir que tu me donnes, vas-y Alex, fouille-moi bien, pénètre-moi bien, darde-moi bien le cul avec ta langue !
Antoine gémissait, ses lamentations me faisaient vibrer, difficile de décrire et d’analyser ce que je ressentais, alors qu’il s’affalait sur moi, mettant son ventre contre le mien, gardant son anus bien plaqué contre mes lèvres. Il me relevait les cuisses, ses doigts au plus près de mon trou écartaient mon sillon anal pour que lui aussi puisse aller fouiller et bouffer mon cul. Un anulingus réciproque qui déclenchait et réveillait nos sens, un « 69 » anal et vibratoire nous entrainant au sommet de la puissance érotique, sans la moindre pudeur alors que nous sachions que nous ...