1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1578)


    Datte: 11/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1576) -
    
    Chapitre 30 : Première journée de vie commune -
    
    Antoine me regardait de ses yeux aimants, son beau visage d’ange s’éclairait de nouveau, il me souriait avec une infinie tendresse puis me posait un doux et tendre baiser sur mes lèvres…
    
    Antoine était couché près de moi, nu et endormi sur le ventre, sa tête posée sur ses avant-bras repliés, tournée vers la fenêtre, le drap jusqu’aux pliures des genoux et ainsi je pouvais savourer du regard les sinuosités de sa magnifique croupe ainsi que sa chute des reins. C’était notre première nuit ensemble, que tous les deux, même s’il ne fallait pas oublier les caméras à infrarouges de surveillance du Maître. Nous étions dans un bon et confortable lit et la chambre était quasiment plongée dans une semi-obscurité, juste les premiers rayons de soleil passaient et entraient au travers des persiennes. Je ne dormais plus et regardais donc avec ivresse le bas du dos d’Antoine baigné dans ce doux éclairage. Une seule de ses fesses était éclairée, alors que l’autre, séparée par le sillon anal était avalé par la nuit, ne laissant que deviner sa forme dans la pénombre. Ce fessier n’était que mélange de douceur et de virilité. Mon regard se portait maintenant sur le haut de son corps. Ses épaules me paraissaient puissantes et larges, ses bras repliés sous son visage étaient parfaitement musclés, ses cheveux mi-longs étaient en ...
    ... bataille. Sa poitrine se soulevait lentement au rythme de sa respiration. Je le laissais dormir, tant la journée de la veille avait été éreintante pour nous deux. Oui, il fallait que je le laisse dormir malgré les soubresauts de ma nouille dans cette cage bien trop étroite...
    
    Oui, il le fallait… et pourtant ma main descendait inexorablement à la rencontre de ces lobes fessiers pour se poser délicatement, tout doucement sur mon futur mari. Antoine ne réagissait pas, ne bougeait pas, son souffle calme restait le même. Impossible pour moi de résister à la tentation, à cet appel irrésistible de cette chair ferme et rebondie, j’abandonnais toutes les bonnes résolutions prises trois minutes plus tôt. Mes doigts maintenant glissaient dans cette raie soyeuse et délicate. Ils parcouraient le chemin de haut en bas, à plusieurs reprises, alors qu’Antoine commençait à se réveiller doucement en des petits gémissements agréables. Il écartait un peu plus les jambes, les cuisses, me laissant le libre accès à son orifice. Mes doigts s’aventuraient sur cette entrée tiède et moite et la pénétrait de quelques millimètres seulement. Antoine s’écartait un peu plus encore et cambrait son cul en gémissant à chaque effleurement...
    
    - Hummmmm ! Qu’est-ce que c’est bon Alex, ce que tu me fais !, me disait-il sans retourner son visage, mais en me tendant ses fesses plus largement encore...
    
    J’humidifiais mon majeur avec un peu de ma salive et le portais de nouveau sur cet anneau de chair palpitant et ...
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