« Josy »: La petite salope prête à tout, même faire la pute. Épisode 12
Datte: 06/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... raison reprit le dessus :— Il serait préférable que nous arrêtions de danser Georges.
— Vous avez raison Josiane ! Venez ! Avant que je fasse une bêtise. Joignez-vous à moi.
Il m’accompagna jusqu’à son box et m’invita à m’assoir à côté de lui sur la banquette en cuir. Il passa fièrement son bras autour de mes épaules, et son autre main se posa sur ma cuisse dénudée à la limite de mon porte-jarretelle. Notre conversation si courtoise au début de la danse, changea de tournure, il déclarait sa flamme en me flattant sur ma beauté et mes formes. Vers une heure du matin, Françoise repartait déjà, au bras de son amant, elle passa nous saluer en nous souhaitant bonne nuit : « Tu sais que tu te lèves tôt demain matin ma chérie, ne traine pas. »
Comme le sexagénaire ne m’avait pas encore proposé de passer la nuit avec lui, je tentai une approche différente. Je m’étais levée, avait fait une bise sur la joue de mon cavalier et j’avais suivi mon amie jusqu’au vestiaire. Georges vint me rejoindre très vite avant que je ne file. J’enfilais mon manteau avant de quitter les lieux, lorsqu’un peu gêné de me voir partir, tout en passant sa veste, il me demanda gentiment si je pouvais le suivre à son hôtel. Je pense qu’il avait compris que je ne le ferais pas gratuitement, il mit sa main dans la poche, et retira trois billets tout neuf.
Il prit un « Pascal » qu’il glissa dans mon sillon mammaire. Ne me voyant toujours pas réagir à sa proposition, il en mit un deuxième. Je lui fis la ...
... bise, il me donnait 1000 balles pour baiser alors que je n’avais jamais demandé un seul centime, j’avais envie de lui sauter au cou : « On se retrouve en bas. » J’avais pris l’escalier toute tremblotante : « Tiens ! Voilà le dernier. » Me dit-il en pénétrant dans le hall de l’hôtel. Ce mec était plein aux as, il avait encore de l’espèce, il donna un billet de 50 francs au groom de service en sortant de l’ascenseur.
Georges en avait eu pour son argent, il ne regretta pas sa nuit passée dans mes bras et entre mes cuisses. Comme il fut très généreux, je lui avais fait la totale. À ce sujet, je fus très surprise de ses performances, à plusieurs reprises, il m’avait fait grimper aux rideaux malgré son âge. Me voyant jouir de la sorte, il sut que je ne simulais pas et en était fier. Le matin lorsque je l’avais quitté, il me dit qu’il venait tous les premiers jeudis de chaque mois, tout en me tendant une enveloppe en me remerciant. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, je l’avais revu trois fois et me baisa à chaque fois pour 2000 francs la nuit.
Si le lendemain, je n’étais pas parvenue à trouver de clients, j’avais tout de même persévéré. Des hommes argentés désirant baiser des jeunes petites bourgeoises comme moi, étaient très nombreux au « Plazza », et ils étaient prêts à y mettre le prix. En un peu plus de quatre mois, au rythme de deux clients seulement par semaine, entre fellation en gorge profonde aux toilettes, petite passe rapide ou encore la totale avec en ...