1. Et si on changeait tout ?


    Datte: 04/02/2025, Catégories: f, fh, candaul, caférestau, voyage, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe

    ... élan.
    
    Elle me regarde implorante… et surtout interdite.
    
    — Ça ne… te plaisait pas… ?
    — Si, beaucoup, mais là, tu es seule avec ton plaisir. Ce voyage, on va le faire à deux.
    
    Elle ramène ses jambes au pied du siège, ajuste sa robe et… me regarde.
    
    Je souris. Elle se penche vers moi, sa bouche tout près de mon oreille, et murmure :
    
    — Aurais-tu compris comment je fonctionne ?
    — Non… mais je vais essayer.
    
    Nous arrivons un quart d’heure plus tard à destination.
    
    Je monte nos deux sacs après avoir pris la clé à la réception de l’hôtel. Celui-ci donne directement sur le port, avec toute la mythologie sonore d’une ville de bord de mer en cette fin d’été. Le bruit des mâts des bateaux, des oiseaux, quelques voitures, quasiment aucun humain à l’horizon.
    
    La suite est charmante, moderne. Un canapé profond et deux fauteuils dans la première pièce ; autour d’une table basse en verre, une grande armoire annonce la chambre par un petit couloir, un grand lit trône au centre de celle-ci, flanqué de deux fauteuils encore. Un immense miroir de toute la surface du mur donne l’impression que la chambre compte deux lits et quatre fauteuils. Sophie se jette sur le lit à plat ventre, sa tête s’engouffrant dans les énormes coussins.
    
    — Mmmhh ! Jolie trouvaille, cet hôtel… Alors, quel est le programme, mon capitaine ?
    
    L’expression marine, dans cette jolie ville de la côte, me donne l’impression de diriger quelque chose dans notre couple, sentiment qui avait disparu depuis ...
    ... un bon moment…
    
    — Balade, dîner et improvisation, dis-je en même temps que la réponse apparaît dans mon esprit.
    — Ma tenue est elle adéquate ?
    — Parfaite.
    
    Un petit tour par la salle de bain et nous descendons cinq minutes plus tard. Il est vingt heures, il fait bon et le ciel est encore un peu éclairé.
    
    Nous marchons le long des bateaux, Sophie me tenant le bras et regardant doucement la ville, le port, le ciel.
    
    Je la regarde à mon bras, savourant cet instant.
    
    — Je te plais toujours ?
    — Tu n’as pas idée à quel point.
    — C’est cette robe… ça faisait longtemps que je ne l’avais pas mise…
    — Elle est sublime.
    — Tu sais, je… n’ai toujours rien en dessous…
    
    Nous tournons dans une rue adjacente, étroite et déserte. Je la plaque contre un mur de pierres.
    
    — Ma robe t’excite ?
    — Oui. Soulève-la…
    
    Elle obtempère, je recule d’un pas pour la regarder… Elle remonte doucement le tissu jusqu’à ses hanches et sa jolie toison apparaît à nouveau à mes yeux. Elle pousse une bretelle de son épaule, puis la deuxième. Ses seins gros, ses mamelons larges jaillissent de ce qui reste de la robe… Sophie glisse doucement le long du mur vers le sol, se retrouvant adossée, accroupie, et les jambes grandes ouvertes…
    
    — Tu vas encore… me laisser sur ma faim ?
    — Non… caresse-toi.
    
    Sa main obéit immédiatement et rejoint ses longues lèvres pendantes, les écartant de deux doigts pour que le troisième se mette à caresser son clitoris déjà dur…
    
    Je me rapproche d’elle, ouvre ma ...