Comme à la maison
Datte: 03/02/2025,
Catégories:
ffh,
caresses,
Oral
fsodo,
délire,
fantastiq,
Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... l’avais jamais fait.
Puis au moment où j’étais en train de jouir, j’entendis la porte de la chambre claquer et des pas se rapprocher. Je n’avais pourtant pas envie de stopper ce moment. Malgré moi, je fus sur le point de me retirer, mais Vanessa m’agrippa pour m’empêcher de partir. J’étais mort de peur, et en même temps, je n’avais jamais autant joui. Sensation étrange. Irréelle même. Je devais déjà être au paradis.
Une voix que je connaissais bien et que j’appréhendais, surtout dans cette situation, s’écria derrière moi :
— Au moins une qui ne finira pas dans mes fesses !
Je reconnus aussitôt la voix de ma femme, Monica, et tremblai à l’idée de pilonner une autre, juste devant elle, et qui plus est dans notre lit conjugal. Alors qu’une intense chaleur m’emplissait le corps entier, j’espérais qu’être expulsé de chez moi ne serait pas trop douloureux.
Mais un bassin se colla au mien et des mains caressèrent ma poitrine, tout en me murmurant des paroles rassurantes :
— Continue, mon chéri. Est-ce qu’elle est confortable, au moins ?
J’écarquillai les yeux de stupeur. Ça y est, ma femme m’avait tué, les anges des cieux m’accueillaient. Des anges qui ressemblaient beaucoup à Monica et à cette inconnue que je venais de rencontrer (et de pénétrer par-derrière), avant de mourir. Très étrange. Si j’étais mort, il me fallait en profiter, donc je poursuivis ma route entre les fesses de cette superbe soubrette.
— Très confortable, répondis-je en donnant un ...
... nouveau coup de reins.
Vanessa se mit à crier de joie.
— Eh bien, je suis ravie qu’elle te plaise, mon chéri, c’est moi qui l’ai choisie, me répondit Monica.
Je m’arrêtai aussitôt. Peut-être n’étais-je pas mort, mais dans ce cas, qui était cette femme qui avait la voix, les mains et le parfum de ma femme ?
— Continue, mon chéri, ne t’arrête pas.
Vanessa se mit à crier en agrippant les draps, mordant dans l’oreiller. Tout son corps était secoué de soubresauts, pendant que mon copilote et moi la pilonnions par-derrière. La transpiration faisait luire nos corps qui ne formaient plus qu’un.
Quand ce fut terminé, Vanessa se retira de mon sexe et s’allongea sur le dos tandis que je m’allongeai sur elle, ma femme sur moi.
Pendant que nous nous caressions, notre invitée lâcha d’une voix calme :
— Je suis bien ici, je crois que je vais rester encore un peu.
Elle avait posé sa main sur mon bassin. Sa main finit par tomber sur celle de ma femme, qui tressaillit à son contact. Vanessa et moi restâmes figés, attendant sa réaction. Dans un premier temps, elle ne bougea pas puis elle referma sa main sur l’autre, les doigts croisés entre eux.
— Alors ? demandai-je à Monica.
— Alors on la garde, répondit-elle avec un sourire.
— Par contre, on n’en a pas finis avec toi, ma jolie, fit Vanessa en se tournant vers ma femme. Tu n’aurais pas envie de connaître ce que je viens de vivre ?
Ma femme hésitait clairement. Ce que je comprenais totalement. J’aurais moi-même ...