Comme à la maison
Datte: 03/02/2025,
Catégories:
ffh,
caresses,
Oral
fsodo,
délire,
fantastiq,
Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... ?
Elle m’avait déjà tutoyé. Curieusement, je ne me posai pas de questions. Cette femme m’hypnotisait. Elle s’offrait à moi, il n’y avait pas de honte. Je décidai de mettre ma femme quelque peu de côté.
— Je suis là, mon amour, répondis-je en l’embrassant dans le cou.
Elle me tira par le pantalon pour m’attirer vers le lit et s’allongea, les jambes écartées.
Je grimpai à quatre pattes sur le lit pour la rejoindre, sa main cherchai déjà ma braguette.
Je l’embrassai, et elle mit la langue. Puis brusquement, je me redressai et sortis du lit, perturbé.
Allongée calmement sur le lit, Vanessa me lança :
— C’est dur d’arrêter de se poser des questions, j’ai l’impression…
Je restais debout, tout penaud, ne sachant que faire. Alors elle alimenta la conversation, comme si de rien n’était :
— Si j’étais votre femme, ou bien si elle était présente et consentante, comment vous me prendriez, là, maintenant ?
— Par derrière, répondis-je sans hésiter. Nous ne l’avons jamais fait.
— Bonne idée !
Et elle se mit aussitôt à quatre pattes sur les draps en enlevant sa culotte. Puis voyant que je ne réagissai pas, elle me lança :
— Je suis prête ! Vous venez ?
On m’avait toujours dit que c’était mal, que cela humiliait la condition des femmes. Mais cette déesse sur le lit m’y invitait. Comment pouvait-on aimer d’avoir cela dans les fesses ? Vanessa continuait de se trémousser en m’attendant. Après un moment d’hésitation, je défis mon pantalon et m’approchai de ...
... ses jolies fesses. D’ailleurs, tout était joli chez cette femme-là.
— La nature vous a bien doté, mademoiselle !
Elle soupira et me lança un petit sourire compréhensif :
— Je cherche quelqu’un qui doit m’enculer, vous savez où il est ?
— Euh, non, mais je suis le remplaçant, je suis sûr que je ferai l’affaire !
Elle soupira de soulagement.
— Merci, monsieur, vous me rendriez un fier service !
Elle secoua son beau popotin juste devant mon nez. Mon sexe tendu s’approchait de son trou. Elle se mit à rire :
— Allez ! Hop ! D’un coup !
Je m’enfonçais soudainement et elle poussa un râle :
— Aaaaaaaaaammmh !
— Je vous ai fait mal ?
— Hmmmm non, continuez, c’est des gémissements de plaisir.
Elle ne maîtrisait plus sa voix qui fleuretait avec les aigus.
Je me sentais un peu à l’étroit, mais quelque part, ce n’était pas désagréable. C’était comme une épée dans son fourreau. Je me pris au jeu et la fourrais comme un gamin. Mes coups de boutoir finirent par la faire jouir de joie. Je tâchais de me convaincre que c’était ma femme dont je pilonnais le derrière. Cette dernière n’accepterait jamais une telle chose, du moins, je ne lui avais jamais demandé.
La sensation était divine. Les fesses enveloppaient ma chair et mon corps se prolongeait dans celui de cette femme accroupie dans l’extase.
— Venez me toucher les seins, j’ai besoin d’être réconfortée.
Alors je me penchai vers elle et caressai son soutien-gorge, tout en la pénétrant comme je ne ...