1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1684)


    Datte: 02/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... elle somnolait presque car étant dans le noir complet avec ses yeux bandés, bien au chaud devant le feu, en partie, et les mains de Messire Léon la délassait agréablement bien. Lui, en revanche n’avait pas du tout sommeil. Revoir Marion, ici, dans sa maison natale, l’avait ramené des années en arrière et il se sentait redevenu un jeune homme, qu’il était toujours resté dans sa tête, plein d’envies et d’imagination et toujours avec une forte libido et belle virilité. Soudain Marion fut tirée de sa somnolence par une chose humide qui pénétrait sa chatte, coulante de cyprine, c’était la langue de Messire Léon.
    
    - Exceptionnellement, aujourd’hui c’est moi qui va nettoyer ta chatte de salope en chaleur, tu coules comme une rivière, une délicieuse rivière, belle chienne en chaleur…
    
    Marion se permit de répondre :
    
    - Hummm… Ouiiiiiiiii… ! C’est vous, Messire, qui me mettez dans un état pareil… Ouiiiiiiiii… !
    
    Messire Léon avait d’abord voulu la pénétrer directement mais finalement il changea d’avis. La chatte de Marion était tellement trempée, dégoulinante d’une abondante cyprine qu’il savait qu’il la baiserait d’un simple et profond coup de boutoir. Mais il voulait la ...
    ... faire languir, l’entendre gémir et surtout l’entendre le supplier de la prendre. C’est ainsi que sans la pénétrer qu’il frotta son gros gland sur sa fente aux lèvres intimes fortement gonflées. Il était plein d’envie exprimée par sa forte érection d’une verge tendue à l’extrême. Mais il se retint de la pénétrer, alors frottant toujours cette fente trempée sans trop appuyer, il s’assura qu’elle le sente bien quand même afin de l’exciter encore plus, même si cela n’était pas nécessaire, vu l’état de jouissance. L’effet qu’il espérait obtenir ne se fit pas attendre longtemps, Marion gémissait, essayait en levant son bassin de le sentir plus fort en elle, d’encourager la copulation, de provoquer la pénétration, mais c’était peine perdue. Messire Léon l’empêchait de bouger et la pauvre Marion ne pouvait que se tortiller et gémir d’excitation exacerbée. Mais elle savait qu’il attendait qu’elle le supplie de se faire prendre. Et comme elle n’en pouvait plus de cette délicieuse mais insoutenable torture, elle céda dans la supplication :
    
    - Pitié Messire, prenez-moi, baisez-moi fort… Je vous en supplie, par pitié, s’il vous plait, possédez-moi de votre grosse verge...
    
    (A suivre …) 
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